جامع عقبة بن نافع

( Grande Mosquée de Kairouan )

La Grande Mosquée de Kairouan (arabe : الجامع الكبير بالقيروان), également appelée mosquée Oqba Ibn Nafi (جامع عقبة بن نافع) en souvenir de son fondateur Oqba Ibn Nafi, est l'une des principales mosquées de Tunisie, située à Kairouan. Historiquement première métropole musulmane du Maghreb, Kairouan, dont l'apogée sur les plans politique et intellectuel se situe au IXe siècle, est réputée comme étant le centre spirituel et religieux de la Tunisie, ; elle est aussi parfois considérée comme la quatrième ville sainte de l'islam sunnite,,,,,...Lire la suite

La Grande Mosquée de Kairouan (arabe : الجامع الكبير بالقيروان), également appelée mosquée Oqba Ibn Nafi (جامع عقبة بن نافع) en souvenir de son fondateur Oqba Ibn Nafi, est l'une des principales mosquées de Tunisie, située à Kairouan. Historiquement première métropole musulmane du Maghreb, Kairouan, dont l'apogée sur les plans politique et intellectuel se situe au IXe siècle, est réputée comme étant le centre spirituel et religieux de la Tunisie, ; elle est aussi parfois considérée comme la quatrième ville sainte de l'islam sunnite,,,,,,.

Représentant l'édifice emblématique de la cité, sa Grande Mosquée reste le sanctuaire le plus ancien et le plus prestigieux de l'Occident musulman,. Figurant, depuis le décret beylical du , sur la liste des monuments historiques et archéologiques classés et protégés en Tunisie,, elle a également été classée, avec l'ensemble historique de Kairouan, au patrimoine mondial de l'Unesco en 1988.

Bâtie, initialement, par Oqba Ibn Nafi à partir de 670 (correspondant à l'an 50 de l'hégire), alors que la ville de Kairouan est fondée, elle est agrandie et reconstruite aux VIIIe et IXe siècles,. Elle est considérée, dans le Maghreb, comme l'ancêtre de toutes les mosquées de la région, aussi bien que l'un des plus importants monuments islamiques et un chef-d'œuvre universel d'architecture.

D'un point de vue esthétique, la Grande Mosquée de Kairouan apparaît comme le plus bel édifice de la civilisation musulmane au Maghreb. Son ancienneté et la qualité de son architecture font d'elle un joyau de l'art islamique. Nombreux sont les ouvrages et les manuels d'art musulman qui font référence à la mosquée.

Au-delà de son importance artistique et architecturale, elle a joué, selon l'universitaire et islamologue tunisien Mohamed Talbi, « un rôle capital dans l'islamisation de tout l'Occident musulman, y compris l'Espagne, et la diffusion du malikisme ».

Sous le règne de la dynastie des Aghlabides (IXe siècle), de grands travaux de reconstruction et d'embellissement donnent à la mosquée sa physionomie actuelle. Remarquable par son unité d'ensemble ainsi que par ses vastes dimensions, la renommée et le prestige de ce lieu de prière provient, en outre, de sa contribution dans l'acquisition et la transmission du savoir, notamment entre les IXe et XIe siècles. L'université, constituée de savants et de juristes qui dispensent leurs enseignements au sein de la mosquée, est un centre de formation aussi bien pour l'instruction de la pensée musulmane que pour les sciences profanes,. Avec le déclin de Kairouan, amorcé à partir de la seconde moitié du XIe siècle, le centre de formation intellectuelle se déplace par la suite vers l'université Zitouna de Tunis.

Évolutions Photographie d'époque (datée de 1900) de la Grande Mosquée de Kairouan, montrant la façade méridionale et orientale, ainsi que le minaret. Vue de la Grande Mosquée de Kairouan au début du XXe siècle.Photographie d'époque, vers 1900, montrant la façade occidentale de la Grande Mosquée de Kairouan. Les façades de l'édifice étaient entièrement badigeonnées à la chaux, avant les restaurations des années 1960. Vue de la façade occidentale de la mosquée au début du XXe siècle.Photographie aérienne de la Grande Mosquée de Kairouan en 1964, prise lors des travaux de restauration de 1964-1965. Ceux-ci sont menés par la direction des monuments historiques de l'Institut national d'archéologie et d'art. Vue aérienne de la mosquée en 1964, faisant l'objet de travaux de restauration.

Lors de la fondation de Kairouan en 670, le général et conquérant arabe Oqba Ibn Nafi (lui-même fondateur de la ville) choisit l'emplacement de sa mosquée au centre de la cité, à proximité du siège du gouverneur[1]. Ce lieu de culte initial est élevé entre 670 et 675[2],[3]. Peu de temps après sa construction, la mosquée ne semble pas avoir souffert, entre 683 et 686, durant l'occupation éphémère de Kairouan par les Berbères menés par Koceïla[4],[5],[6]. Par la suite, elle est reconstruite par le général ghassanide Hassan Ibn Numan en 703[7],[8].

Avec l'accroissement progressif de la population de Kairouan et devant l'augmentation conséquente du nombre de fidèles, la mosquée ne suffisant plus à les contenir[9], Hicham, calife omeyyade de Damas, fait effectuer par l'intermédiaire de son gouverneur Bichr Ibn Safwan de nombreux travaux d'aménagement dans la ville[10]. Ces derniers incluent la rénovation et l'élargissement de la mosquée aux alentours des années 724-728. En vue de son agrandissement, il procède, d'abord, à l'achat de terrains voisins appartenant au Banu Fihr, clan quraychite dont son plus illustre représentant est Oqba Ibn Nafi[9]. Il fait ensuite abattre puis reconstruire la mosquée à l'exception de son mihrab ; c'est sous son égide que débute l'édification du minaret[11],[12]. En 774, une nouvelle reconstruction accompagnée de remaniements et d'embellissements[13], a lieu sous la direction du gouverneur abbasside Yazid Ibn Hâtim[14],[15].

Sous le règne des souverains aghlabides, Kairouan est à son apogée et la mosquée profite de cette période de calme et de prospérité. En 836, Ziadet Allah Ier (817-838) fait reconstruire à nouveau, et pour la dernière fois, la mosquée ; c'est à cette époque que l'édifice acquiert, tout au moins dans sa globalité, l'aspect qu'on lui connaît aujourd'hui[16],[17]. Cette campagne de reconstruction, dont le coût s'élève à 86 000 mithqals d'or (un mithqal équivalant à 4,25 grammes)[18],[19],[20], comprend, entre autres, la réédification de la salle de prière, qui compte désormais dix-sept nefs, ainsi que l'érection de la coupole côtelée sur trompes en coquille du mihrab[21],[22]. Vers 862-863, Abou Ibrahim Ahmed (856-863) agrandit la salle de prière en prolongeant les dix-sept nefs de quatre travées supplémentaires vers le nord[23]. Il fait précéder cette dernière d'un portique (le portique sud de la cour) d'une profondeur de deux travées, et lui ajoute une coupole le surmontant en son milieu[24]. Par ailleurs, Abou Ibrahim Ahmed contribue notablement à l'embellissement de la mosquée en la dotant d'un remarquable minbar en bois finement sculpté et en faisant redécorer le mihrab avec l'emploi, notamment, de carreaux de céramique à reflets métalliques[25]. En 875, Ibrahim II construit encore, aux dépens de la cour, les autres portiques ; celle-ci est amputée sur les trois côtés nord, est et ouest par des galeries doubles[26]. Cette dernière phase de travaux ne fait pas l'unanimité, car la construction de l'ensemble des portiques encadrant la cour est également attribuée à Abou Ibrahim Ahmed[27],[28].

L'état actuel de la mosquée remonte donc au IXe siècle, au règne des Aghlabides, à l'exception de quelques restaurations partielles et de quelques adjonctions postérieures effectuées vers la fin du premier quart du XIe siècle sous la domination des Zirides[29], en 1248 et 1293-1294 sous le règne des Hafsides[29],[30], en 1618 à l'époque des beys mouradites, au XVIIIe siècle ainsi qu'au premier tiers du XIXe siècle durant la période des beys husseinites[31], à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle[32]. Au cours du XXe siècle, plusieurs actions de conservation et de restauration sont effectuées, d'abord entre 1910 et 1920 par le Service des antiquités et des arts de la Régence[N 1], puis lors de la première moitié des années 1960, notamment, en 1964-1965 par la direction des monuments historiques de l'Institut national d'archéologie et d'art[34],[N 2].

En 1967, des travaux de restauration de grande ampleur, étalés sur cinq ans, sont lancés sur l'ensemble du monument. Ces derniers, menés par la direction des monuments historiques de l'Institut national d'archéologie et d'art avec la collaboration des architectes italiens Riccardo Gizdulich et Paolo Donati, s'achèvent par une réouverture officielle de la mosquée, en présence de Habib Bourguiba, premier président de la République tunisienne, et de son homologue algérien Houari Boumédiène, lors de la célébration du Mouled de l'année 1972[34]. L'édifice connaît, au milieu des années 1980, des travaux complémentaires de restauration qui concernent essentiellement les murs extérieurs et leurs contreforts, les plafonds de la salle de prière, ainsi que le minaret[37].

Récits et témoignages Carte postale de 1900 montrant l'utilisation, par des pèlerins, d'une citerne située sous la cour de la mosquée. Pèlerins entourant la margelle d'une citerne située sous la cour, d'après une carte postale de 1900.Photographie d'époque, datée vers 1880, de la salle de prière. Cette vue intérieure de la salle hypostyle montre les nombreuses colonnes, à chapiteaux romains et byzantins, qui portent, par l'intermédiaire d'impostes, les arcs badigeonnés à la chaux. Vue intérieure de la salle de prière vers 1880.

Quelques siècles après sa fondation, la Grande Mosquée de Kairouan fait l'objet de nombreuses descriptions de la part d'historiens et de géographes arabes du Moyen Âge. Ces récits concernent principalement les différentes phases de construction et d'agrandissement du sanctuaire, ainsi que les apports successifs de nombreux princes au décor intérieur (mihrab, minbar, plafonds, etc.). Parmi les auteurs qui ont écrit sur le sujet, et dont les récits nous sont parvenus[38], figurent Al-Bakri (géographe et historien andalou mort en 1094 qui a consacré un récit suffisamment détaillé à l'histoire et à la description de la mosquée dans son ouvrage Description de l'Afrique septentrionale), Al-Nowaïri (historien égyptien mort en 1332) et Ibn Nagi (jurisconsulte et hagiographe kairouanais mort aux alentours de l'année 1435)[39].

En se référant à un texte plus ancien d'Al-Tujibi (auteur kairouanais décédé en 1031), Ibn Naji donne, au sujet des ajouts et des embellissements apportés à l'édifice par le souverain aghlabide Abou Ibrahim Ahmed, le récit suivant : « Il construisit dans la mosquée de Kairouan la coupole qui se dresse à l'entrée de la nef centrale ainsi que les deux colonnades qui la flanquent des deux côtés, puis les galeries furent dallées par ses soins. Il fit ensuite le mihrab »[16]. Soulignant le soin apporté par le prince à la décoration du mihrab, il ajoute que « l'émir donna au mihrab cette parure merveilleuse, employant le marbre, l'or et autres belles matières »[24],[40].

Par la suite, voyageurs, écrivains et poètes occidentaux passés par Kairouan laissent des témoignages parfois empreints de vive émotion voire d'admiration sur la mosquée. Dès le XVIIIe siècle, le médecin et naturaliste français Jean-André Peyssonnel, qui effectue un voyage d'études vers 1724, durant le règne du souverain Hussein Ier Bey, souligne la renommée de la mosquée comme un centre d'études religieuses et profanes réputé : « La Grande Mosquée est dédiée à Okba où il y a un célèbre collège où l'on va étudier des endroits les plus reculés de ce royaume : on y enseigne à lire et écrire la grammaire arabe, les lois et la religion. Il y a de grosses rentes pour l'entretien des professeurs »[41].

Photographie d'époque du minaret, vu depuis la cour. Minaret vu depuis la cour, aux alentours de 1900.Photographie du mihrab et du minbar d'après une carte postale de 1930. Ce dernier, en bois sculpté, est une chaire à prêcher en forme d'escalier, qui est surmonté d'un siège pour l'imam. Carte postale de 1930 montrant le mihrab (niche) et, à sa droite, le minbar (chaire en forme d'escalier).

À la même époque, le voyageur et ecclésiastique anglais Thomas Shaw (1692-1751)[42], qui parcourt la régence de Tunis et passe par Kairouan en 1727, décrit la mosquée comme celle « qui est réputée la plus magnifique et la plus sacrée de la Berbérie », mettant notamment en avant « un nombre presque incroyable de colonnes de granit »[43]. À la fin du XIXe siècle, l'écrivain français Guy de Maupassant exprime, dans un récit de voyages intitulé La Vie errante, sa fascination pour l'architecture de la Grande Mosquée de Kairouan, qu'il considère « aussi parfaite et aussi magnifique que les plus pures conceptions des plus grands tailleurs de pierre »[44], ainsi que son saisissement devant l'effet créé par ses innombrables colonnes : « L'harmonie unique de ce temple bas vient de la proportion et du nombre de ses fûts légers qui portent l'édifice, l'emplissent, le peuplent, le font ce qu'il est, créent sa grâce et sa grandeur. Leur multitude colorée donne à l'œil l'impression de l'illimité, tandis que l'étendue peu élevée de l'édifice donne à l'âme une sensation de pesanteur. Cela est vaste comme un monde… »[45],[46].

Concernant la grande variété des colonnes et de leurs chapiteaux, Maupassant note : « Le regard s'arrête, se perd dans cet emmêlement profond de minces piliers ronds d'une élégance irréprochable, dont toutes les nuances se mêlent et s'harmonisent, et dont les chapiteaux byzantins, de l'école africaine et de l'école orientale, sont d'un travail rare et d'une diversité infinie. Quelques-uns m'ont paru d'une beauté parfaite. Le plus original peut-être représente un palmier tordu par le vent »[44]. Parmi les détails remarquables de la salle de prière, il relève à propos de la maqsura et du minbar :

« La chambre du sultan, qui entrait par une porte réservée, est faite d'une muraille en bois ouvragée comme par des ciseleurs. La chaire aussi, en panneaux curieusement fouillés, donne un effet très heureux » ; il dépeint le mihrab comme « une admirable niche de marbre sculpté, peint et doré, d'une décoration et d'un style exquis »[45]. Au tout début du XXe siècle, le poète autrichien Rainer Maria Rilke, qui évoque la place de Kairouan dans l'histoire musulmane, décrit son admiration pour l'imposant minaret :

« La ville est marquée par la Grande Mosquée. Jusqu'au XIe siècle, Kairouan fut un important centre islamique en Afrique du Nord. Existe-t-il un modèle plus beau que cette vieille tour, le minaret, encore conservé de l'architecture islamique ? Dans l'histoire de l'art, son minaret à trois étages est considéré comme un chef-d'œuvre et un modèle parmi les monuments les plus prestigieux de l'architecture musulmane[47]. »

Photographies anciennes de la mosquée
Vue générale de la Grande Mosquée de Kairouan vers 1880. 
Vue générale de la Grande Mosquée de Kairouan vers 1880.
Gros plan sur le minbar avant sa restauration au début du XXe siècle, photographie extraite d'un ouvrage datant de 1887. 
Gros plan sur le minbar avant sa restauration au début du XXe siècle, photographie extraite d'un ouvrage datant de 1887.
Vue montrant une partie de la cour, ainsi que le toit et les coupoles de la salle de prière (1890-1910). 
Vue montrant une partie de la cour, ainsi que le toit et les coupoles de la salle de prière (1890-1910).
Vue datée de 1904, qui montre la grande porte centrale de la salle de prière et les arcades du portique qui la précède. 
Vue datée de 1904, qui montre la grande porte centrale de la salle de prière et les arcades du portique qui la précède.
Vue partielle de la cour et de son portique oriental, photographie extraite d'un ouvrage datant de 1918. 
Vue partielle de la cour et de son portique oriental, photographie extraite d'un ouvrage datant de 1918.
Vue datée de 1963, montrant la façade du portique méridional, précédant la salle de prière, ainsi que le toit et les coupoles de celle-ci. 
Vue datée de 1963, montrant la façade du portique méridional, précédant la salle de prière, ainsi que le toit et les coupoles de celle-ci.
Markus Hattstein et Peter Delius, Islam: art and architecture, éd. Könemann, Cologne, 2000, p. 132. Jean Delorme, Chronologie des civilisations, éd. Presses universitaires de France, Paris, 1969, p. 145. Najwa Othman, op. cit., p. 65. Tahar Oussedik, La Berbérie, vol. 2, éd. Enag, Alger, 2005, p. 79-80. Henri Teissier et Antoine Chatelard, Histoire des chrétiens d'Afrique du Nord : Libye, Tunisie, Algérie, Maroc, éd. Desclée, Paris, 1991, p. 48. Najwa Othman, op. cit., p. 15-17. Jack Finegan, The archeology of world religions, vol. III, éd. Princeton University Press, Princeton, 1965, p. 522. Jonathan M. Bloom, Early Islamic art and architecture, éd. Ashgate, Aldershot, 2002, p. 376. ↑ a et b Paul Sebag, op. cit., p. 25. Fawzi Mahfuz, op. cit., p. 77. Hichem Djaït, « L'Afrique arabe au VIIIe siècle (86-184 H./705-800) », Annales. Économies, sociétés, civilisations, vol. 28, no 3, 1973, p. 616. (en) Giovanni Teresio Rivoira, Moslem Architecture. Its Origins and Development, éd. Humphry Milford/Oxford University Press, Oxford, 1918, p. 28 et 37-38. Archéologie méditerranéenne, no 1-2, éd. Klincksieck, Paris, 1965, p. 163. Alexandre Lézine, op. cit., p. 70. « La fondation de la Grande Mosquée »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur islamickairouan.net. ↑ a et b Lucien Golvin, « Quelques réflexions sur la Grande Mosquée de Kairouan à la période des Aghlabides », Revue de l'Occident musulman et de la Méditerranée, vol. 5, no 5, 1968, p. 69. Alexandre Papadopoulo, op. cit., p. 507. Henri Saladin, La mosquée de Sidi Okba à Kairouan, éd. Ernest Leroux, Paris, 1899, p. 21-30. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Djelloulp5 Jack Finegan, op. cit., p. 523. Pierre Lavedan, Histoire de l'art, vol. II, éd. Presses universitaires de France, Paris, 1950, p. 39 et 204. Alexandre Lézine, op. cit., p. 53. Paul Sebag, op. cit., p. 43. ↑ a et b Paul Sebag, op. cit., p. 40. Francesco Gabrieli, Maghreb médiéval : l'apogée de la civilisation islamique dans l'Occident arabe, éd. Édisud, Aix-en-Provence, 1991, p. 235. Georges Marçais, L'architecture : Tunisie, Algérie, Maroc, Espagne, Sicile, vol. I, éd. Picard, Paris, 1927, p. 12. Najwa Othman, op. cit., p. 89-91. Paul Sebag, op. cit., p. 40-43. ↑ a et b Néji Jalloul, op. cit., p. 32. Paul Sebag, op. cit., p. 53. Paul Sebag, op. cit., p. 59. Maurice Carbonnell, Relevés photogrammétriques d'architecture islamique, éd. Maison tunisienne de l'édition, Tunis, 1988, p. 71. Clémentine Gutron, op. cit., p. 28. ↑ a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées verite Clémentine Gutron, op. cit., p. 47. Clémentine Gutron, op. cit., p. 59. Najwa Othman, op. cit., p. 427. Lucien Golvin, « Quelques réflexions sur la Grande Mosquée de Kairouan à la période des Aghlabides », p. 69-77. (en) Paul Ernest Walker, Exploring an Islamic empire: Fatimid history and its sources, éd. I.B. Tauris, Londres, 2002, p. 219. Gaston Migeon, « Décor lustré dans la céramique musulmane à propos de publications récentes », Syria, vol. 10, no 10-2, 1929, p. 130-136. Jean-André Peyssonnel, Mohamed Larbi Snoussi et Denise Brahimi, Voyage dans la régence de Tunis (1724), éd. Centre de publication universitaire, Tunis, 2003, p. 84. Zehor Zizi, « Thomas Shaw (1692-1751) en Égypte »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur web.univ-pau.fr. (en) Thomas Shaw, Travels or observations relating to several parts of Barbary and the Levant, vol. I, éd. J. Ritchie, Édimbourg, 1808, p. 218. ↑ a et b Guy de Maupassant, De Tunis à Kairouan, coll. Le Regard littéraire, éd. Complexe, Bruxelles, 1993, p. 75. ↑ a et b Guy de Maupassant, op. cit., p. 76. Mohamed Bergaoui, Tourisme et voyages en Tunisie : les années régence, éd. Simpact, Tunis, 1996, p. 231. Adel Latrech, « Kairouan, capitale de la culture islamique en 2009. Dans le regard de Paul Klee », La Presse de Tunisie, 3 janvier 2009.


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