حائط البراق

( Mur des Lamentations )

Le mur des Lamentations — ou le Mur occidental selon l’appellation traditionnelle juive (hébreu : הכותל המערבי, translit. : HaKotel HaMa'aravi, familièrement le Kotel) — est une partie du mur de soutènement de l'esplanade du Temple de Jérusalem, situé dans le quartier juif de la vieille ville de Jérusalem. Bâti au Ier siècle apr. J.-C. durant l'achèvement de la construction du Second Temple, il renforce le flanc occidental du temple, d’où son appellation juive traditionnelle de Mur occidental, et en constitue l’un des principaux vestiges. Il est révéré en cette qualité comme mur du mont du Temple, d’autant qu’il est actuellement le lieu le plus proche du Saint des saints, et est de ce fait considéré par le peuple juif comme l'endro...Lire la suite

Le mur des Lamentations — ou le Mur occidental selon l’appellation traditionnelle juive (hébreu : הכותל המערבי, translit. : HaKotel HaMa'aravi, familièrement le Kotel) — est une partie du mur de soutènement de l'esplanade du Temple de Jérusalem, situé dans le quartier juif de la vieille ville de Jérusalem. Bâti au Ier siècle apr. J.-C. durant l'achèvement de la construction du Second Temple, il renforce le flanc occidental du temple, d’où son appellation juive traditionnelle de Mur occidental, et en constitue l’un des principaux vestiges. Il est révéré en cette qualité comme mur du mont du Temple, d’autant qu’il est actuellement le lieu le plus proche du Saint des saints, et est de ce fait considéré par le peuple juif comme l'endroit le plus saint pour la prière. Après l’érection de la cité romaine d’Ælia Capitolina, conçue pour effacer le souvenir de Jérusalem, et l’exclusion des Juifs de celle-ci, ils sont autorisés contre paiement à se rendre un jour par an au pied du mur pour se lamenter sur la destruction de la ville. L’appellation « mur des Lamentations » apparaît alors dans les écrits des pèlerins chrétiens, et témoigne de l'antijudaïsme ambiant car la destruction du Temple est considérée comme la preuve des enseignements de Jésus ainsi que le juste châtiment des Juifs qui ne l’ont pas accepté. C'est le terme le plus utilisé en français vers la fin du XIXe siècle. Considéré dans la tradition musulmane comme le lieu où Mahomet parque sa monture (arabe : الْحَائِطُ ٱلْبُرَاق al-Ḥā’iṭu ’l-Burāq), il est intégré au VIIe siècle aux murs d'enceinte de l'esplanade des Mosquées lors de la construction du dôme du Rocher puis de la mosquée al-Aqsa. Il est, selon la tradition juive, redécouvert après avoir été enseveli sous un monceau d’ordures, et un lieu de culte y est établi dès le XIVe siècle. Les Juifs continuent de s’y recueillir jusqu’à la guerre d’indépendance d’Israël, à l’issue de laquelle Jérusalem est divisée et les Juifs sont expulsés de leurs quartiers qui se trouvent désormais sous contrôle jordanien. La prise de la ville, et de son lieu saint, quelque vingt ans plus tard est l’un des symboles les plus marquants de la guerre des Six Jours, et le Mur occidental revêt une importance nationale pour Israël, tandis que sa proximité avec des lieux saints de l’islam en fait l’un des points contentieux les plus sensibles du conflit israélo-palestinien.

L'Encyclopaedia Britannica indique de « l'authenticité du Mur occidental a été confirmée par la tradition, l'histoire et les recherches archéologiques »[1]

Selon la Bible, le temple de Salomon aurait été le premier temple de Jérusalem, dont la construction se situerait aux alentours du Xe siècle av. J.-C. sur un site mégalithique[réf. nécessaire]. Sa destruction par les Babyloniens date de 586 av. J.-C.. Les archéologues n'ont cependant trouvé aucune trace de cette construction mais la conjoncture politique a empêché des fouilles systématiques. Le nombre d'habitants de Jérusalem à cette époque, quelques centaines, rend improbable la construction d'une grande structure[2].

Le second temple fut érigé en 515 av. J.-C., la cinquième année du règne de Darius le Grand (Esdras 6:15), considérablement agrandi et embelli par Hérode le Grand, inauguré en 63 ap. J.-C. et détruit par les armées romaines en 70, à la suite de la première guerre judéo-romaine.

Le mur actuel semble postérieur à l'extension hérodienne et daterait du début du Ier siècle apr. J.-C..

Témoignage de la destruction du Temple par les Romains

Flavius Josèphe, témoin de la chute de Jérusalem prise par Titus en 70, relate dans sa Guerre des Juifs, Livre VII, que seule subsiste la partie occidentale du mur :

 Destruction de Jérusalem, J. Georg Trautmann (v. 1750).

« Quand l'armée n'eut plus rien à tuer ni à piller, faute d'objets où assouvir sa fureur – car si elle avait eu de quoi l'exercer, elle ne se serait abstenue par modération d'aucune violence – Titus César lui donna aussitôt l'ordre de détruire toute la ville et le Temple, en conservant cependant les tours les plus élevées, celles de Phasaël, d'Hippicos, de Mariamme, et aussi toute la partie du rempart qui entourait la ville du côté de l'ouest. Ce rempart devait servir de campement à la garnison laissée à Jérusalem ; les tours devaient témoigner de l'importance et de la force de la ville dont la valeur romaine avait triomphé. Tout le reste de l'enceinte fut si bien rasé par la sape que les voyageurs, en arrivant là, pouvaient douter que ce lieu eût jamais été habité. Telle fut la fin de Jérusalem, cité illustre, célèbre parmi tous les hommes, victime de la folie des factieux (Guerre des Juifs Livre VII, I, 1)[3]. »

Destruction de Jérusalem vers 135

Après la défaite de la révolte de Bar Kokhba (vers 135), Jérusalem est détruite. La nouvelle ville qui porte le nom romain d'Ælia Capitolina est reconstruite sur le plan d'une colonie romaine[4].

Interdiction de la ville aux Juifs  Gravure représentant le mur par A. Bida, tirée de Jewish Encyclopedia (v. 1880).

Les Juifs, toutes tendances confondues, sont expulsés de la ville par les Romains comme de l'ensemble de la Chôra[4], y compris les Juifs nazôréens qui reconnaissaient Jésus comme Messie[Note 1]. Selon Épiphane de Salamine (IVe siècle), seuls les chrétiens de la « Grande Église » sont autorisés à vivre et à se rendre à Jérusalem[5]. La population d'Aelia Capitolina est désormais essentiellement composée de vétérans de la Ve légion Macedonia et de la Xe légion romaine qui reconstruit son camp et forme aussi le cœur de la population de la ville, mais aussi de Grecs et de Syriens en général[4].

Certains historiens estiment que l'interdiction de venir dans l'ancienne Jérusalem aurait été assouplie à l'époque d'Antonin le Pieux, toutefois cette interdiction semble avoir perduré même après la conversion de l'empereur Constantin au christianisme.

Ainsi au IVe siècle, Jérôme de Stridon, l'un des quatre Pères de l'Église latine, violemment anti-juif, mentionne dans un commentaire de Sophonie 1.15 « Ce jour est un jour de fureur, Un jour de détresse et d'angoisse, Un jour de ravage et de destruction, Un jour de ténèbres et d'obscurité, Un jour de nuées et de brouillards,... », puis il reprend l'accusation de déicide formulée dans le corpus patristique: « Jusqu'à ce jour, ces locataires hypocrites ont l'interdiction de venir à Jérusalem, car ils sont les meurtriers des prophètes et notamment du dernier d'entre eux, le Fils de Dieu ; à moins qu'ils ne viennent pour pleurer car on leur a donné permission de se lamenter sur les ruines de la ville, moyennant paiement »[6].

 Le Kotel sur une gravure imprimée (1850).

Jérôme indique donc que les Juifs interdits de cité le reste de l'année, viennent « se lamenter » un jour particulier, moyennant paiement. Ce jour particulier est celui du 9 Ab, jour de deuil du calendrier hébraïque « où ils ont le droit de venir se lamenter sur les ruines du Temple afin d'en commémorer la chute ou ses chutes successives (Tisha Beav)[7]. » Bien que Jérôme ne mentionne pas explicitement le « Mur », on retrouve dans sa formulation le nom du « mur des lamentations » que le monde chrétien utilisait pour désigner le mur ouest du Temple, qui n'a pas été détruit en 70. Cependant, ce lieu de deuil pourrait ne pas être le mur mais le Mont des Oliviers qui surplombe de l'est le Mont du Temple, où la coutume le placerait[8].

Il est également possible que dès l'époque des Sévères, des Juifs « aient de nouveau habité Jérusalem, même si l'interdiction n'a pas été annulée car la population judéenne d'Ælia est attestée dans la littérature rabbinique par plusieurs mentions faisant état d'une « sainte synagogue de Jérusalem »[7]. »

En 637, après la conquête musulmane de Jérusalem, les Juifs (devenus dhimmis) reçoivent à nouveau l'autorisation de vivre et de pratiquer leur religion librement dans la ville (moyennant la djizîa ). La conquête aurait aussi entraîné la signature de la Convention d'Omar en 637, qui décrit les droits et les restrictions des Chrétiens et des Juifs vivant sous l'autorité musulmane. L'Encyclopaedia Britannica indique que « des sources arabes et juives confirment toutes les deux qu'après la prise de Jérusalem par les Arabes en 638, les Juifs ont emmené les conquérants sur le site de la montagne sainte et de l'esplanade du Temple et ont aidé à nettoyer les débris ».

 Le mur derrière le quartier des Maghrébins (1917).Au Moyen Âge

Le mur est déjà un lieu de prière comme en témoigne le voyageur Benjamin de Tudèle au XIIe siècle : « À l'opposé de cet endroit, à l'occident est une muraille qui est un reste de celle du Temple et même du Saint des Saints. On l'appelle la porte de Miséricorde. Tous les juifs vont prier à cet endroit où était le parvis »[9]. C'est au XVIe siècle que Les Juifs ont transféré leurs principaux lieux de prière du mont des Oliviers au Mur occidental[10]. La sanctuarisation juive du Mur ne remonte qu'au milieu du XVIe siècle[11].

Sous l'Empire ottoman

Pendant 400 ans, de 1517 à 1917, les Turcs administrent la Palestine et laissent les Juifs prier au mur. La Jewish Encyclopedia décrit ainsi le mur vers 1906 : « Le fameux lieu des Lamentations (le « Kotel Ma'arabi ») est intéressant à tout point de vue. Chaque vendredi après-midi et après le service du Shabbat matin ou des jours de fête, les juifs s'assemblent en une foule pittoresque pour se lamenter sur leur gloire passée. C'est le lieu de rassemblement des juifs de Jérusalem comme l'est le mont du Temple pour les musulmans ou le Saint-Sépulcre pour les chrétiens »[12].

« Quatre Juifs au mur des Lamentations, » gravure d'A. Bida v. 1850. 
« Quatre Juifs au mur des Lamentations, » gravure d'A. Bida (v. 1850).
Gravure de E. Challis de 1860 d'après une eau-forte de W. H. Bartlett (1844). 
Gravure de E. Challis de 1860 d'après une eau-forte de W. H. Bartlett (1844).
Inscription antijuive en français (années 1870). 
Inscription antijuive en français (années 1870).
« Lieu des lamentations des Juifs », 1891. 
« Lieu des lamentations des Juifs » (1891).
Juifs devant le mur (1894). 
Juifs devant le mur (1894).
« Juifs au mur des Lamentations », entre 1898 et 1946. 
« Juifs au mur des Lamentations » (entre 1898 et 1946).
Juifs devant le mur, photographie issue d'un livre de voyage (1907) 
Juifs devant le mur, photographie issue d'un livre de voyage (1907)
Juifs se rendant au mur (v. 1900-1910). 
Juifs se rendant au mur (v. 1900-1910).
Juives devant le mur (v. 1910). 
Juives devant le mur (v. 1910).
Carte de vœux pour la nouvelle année (1911). 
Carte de vœux pour la nouvelle année (1911).
Sous le mandat britannique  Soldats de la Légion juive appartenant à l'armée britannique, près du mur (1918).

À leur tour, les Britanniques administrent la Palestine de 1917 à 1948 et y perpétuent le statu quo. En 1929, des tensions apparaissent entre Juifs et musulmans autour du mur. Des émeutes éclatent. Elles s'étendent à Hébron où des Juifs sont massacrés. Les Britanniques nomment une commission d'enquête qui conclut que le mur était propriété des musulmans et administré par eux. Toutefois, les Juifs ont le droit d'y prier à condition de se conformer à certaines régulations limitant leur droit d'y apporter des objets ou leur interdisant de sonner le shofar[13].

Le mur (v. 1920). 
Le mur (v. 1920).
« Juifs devant le Mur occidental », entre 1900 et 1946. 
« Juifs devant le Mur occidental » (entre 1900 et 1946).
Le mur (1920). 
Le mur (1920).
« Foule le jour des Expiations », entre 1920 et 1946. 
« Foule le jour des Expiations » (entre 1920 et 1946).
Le mur, photographie de Frank G. Carpenter (1922) 
Le mur, photographie de Frank G. Carpenter (1922)
Le mur (1934). 
Le mur (1934).
Policier britannique à côté du mur (1934). 
Policier britannique à côté du mur (1934).
Le mur (entre 1934 et 1939). 
Le mur (entre 1934 et 1939).
Sous contrôle jordanien

Au cours de la guerre israélo-arabe de 1948-1949, la Légion arabe prend le contrôle de la vieille ville de Jérusalem à compter du 28 mai 1948 ; l'accès au mur est interdit aux Juifs de toutes nationalités par les autorités jordaniennes, en violation flagrante des accords d'armistice[14] signés le 3 avril 1949 entre l' État d'Israël et la Transjordanie, qui deviendra en 1950 le royaume de Jordanie.

Pendant les dix-neuf années qui suivent, les nombreuses demandes par diverses autorités officielles israéliennes et des groupes juifs étrangers, tant aux Nations unies qu'auprès d'autres organismes internationaux, pour mettre en application l'accord d'armistice, restent vaines[15]. Seuls les soldats jordaniens et des touristes peuvent avoir accès au site qui est un temps transformé partiellement en dépotoir et avec des latrines installées en face du mur[16].

Depuis la guerre des Six Jours  Rabbi Shlomo Goren sonne le shofar, entouré de soldats israéliens, face au mur reconquis (7 juin 1967).

Lors de la guerre des Six Jours, les Israéliens prennent le contrôle de toute la rive droite du Jourdain et donc de la vieille ville de Jérusalem avec le Mur occidental. Pour célébrer cette reconquête dix-neuf siècles après la prise de la ville par Titus, dès que les premiers parachutistes israéliens atteignent le mur le 7 juin 1967, le grand rabbin de Tsahal Shlomo Goren sonne le shofar (il sera plus tard grand rabbin d'Israël). L'accès au Mur occidental, totalement interdit aux Juifs par les autorités jordaniennes depuis le 28 mai 1948, leur redevient enfin possible.

Auparavant, à 10 h, Mordéchaï Gur (en), commandant de la 55e brigade de parachutistes qui la première atteint le mur, et Uzi Narkiss, général commandant de Jérusalem-est, avaient solennellement envoyé au commandant en chef des forces israéliennes le message suivant :

« Conquérants de Jérusalem, quand les Grecs s’emparèrent de la colline du Temple, les Maccabées la délivrèrent. Lorsque le second Temple fut détruit, Bar Kohba opposa une résistance héroïque aux Romains. Pendant deux mille ans, aucun juif n’avait eu le droit de monter sur la colline du Temple. Mais maintenant, vous êtes là, et vous avez rendu la colline du Temple à la nation juive. Les battements du cœur de chaque juif sont voués au Mur occidental. Ce mur est de nouveau entre nos mains. »

 Dégagement de l'esplanade devant le Kotel (juillet 1967).

Dès le lendemain, afin de créer l'esplanade actuelle, l'armée israélienne entame la destruction de cent trente-huit maisons arabes établies sur plus d'un hectare devant le mur (soit le Quartier marocain) et expulse les six cent cinquante habitants, car avant mai 1948, les Juifs venus y prier étaient obligés de se contenter des 3,60 mètres de large existant entre les maisons et le mur, comme les documents photographiques le confirment[17],[18].

 L'esplanade ou plaza devant le Mur occidental, après les grands travaux d'accessibilité, la rampe des Maghrébins sur la droite, à l'époque, sans contrôle de sécurité (1974).

Les autorités jordaniennes, depuis l'armistice du 3 avril 1949 conclu avec Israël, auraient dû, selon les dispositions dudit armistice, garantir le libre accès aux Juifs pour s'y rendre mais cette disposition ne fut jamais appliquée par les Jordaniens. Après la victoire israélienne, le reste du quartier voit donc le retour de Juifs et l'établissement de yechivoth.

Depuis 1967  Le chophar à Roch Hachana (1998).

Le rabbin Yehuda Getz est nommé en 1968, rabbin du Mur occidental du Temple, fonction qu'il exercera jusqu’à son décès en 1995 ; son successeur est le rabbin Shmuel Rabinovitch (en).

Après la guerre des Six Jours, le ministère des Affaires religieuses commence une excavation rigoureuse sur toute la longueur du Mur occidental. Ce processus permet de révéler les tunnels du mur quelque vingt ans plus tard. Malgré les nombreux obstacles politiques rencontrés par ce projet, les archéologues découvrent 2000 ans d'histoire de Jérusalem à travers notamment d’anciennes citernes, des arches de pierre, des aqueducs de la période hasmonéenne, le bassin de Struthion (documenté par Flavius Josèphe) ou des vestiges de la route qui longeait le Mont du Temple à l'époque hérodienne[19],[20].

Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :4 Lehmann, G. (2003) The United Monarchy in the Contryside : Jerusalem, Judah and the Shephelah during the Tenth Century BCE. In Jerusalem in the Bible and Archaeology : The First Temple Period, edited by A.G. Vaughn ans A.E. Killebrew (Atlanta : Society of Biblical Literature) : 117-162 Lire en ligne. ↑ a b et c Simon Claude Mimouni, Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère, Paris, 2012, éd. PUF, p. 522. Épiphane de Salamine, Traité des poids et mesures, 14. (en) Moshe Gil, « A History of Palestine, (634-1099), page 69 », sur le site de Google books ↑ a et b Simon Claude Mimouni, Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère, Paris, 2012, éd. PUF, p. 523. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Halkin Benjamin de Tudèle, « Voyages de Rabbi Benjamin, fils de Jona de Tudèle, en Europe, en Asie et en Afrique depuis l'Espagne jusqu'à la Chine », Jean-Philippe Baratier, 1732 (consulté le 7 décembre 2008) Georges Bensoussan, Que-sais-je, 2023 Vincent Lemire, Au pied du Mur, Seuil, 2022, p. 133, 134 (en) « Jerusalem,Synagogues and Yeshibot », Jewish Encyclopedia, 1906 Löfgren, Eliel; Barde, Charles; Van Kempen, J. (décembre 1930). Report of the Commission appointed by His Majesty's Government in the United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland, with the approval of the Council of the League of Nations, to determine the rights and claims of Moslems and Jews in connection with the Western or Wailing Wall at Jerusalem (UNISPAL doc A/7057-S/8427, 23 février 1968) Jordanian-Israeli General Armistice Agreement, 3 avril 1949, article VIII §2 : « en tout cas... libre accès aux lieux saints et institutions culturelles, et usage du cimetière du Mont des Oliviers (in any case, shall include... free access to the Holy Places and cultural institutions and use of the cemetery on the Mount of Olives) » (texte en ligne). Documents officiels de la session de l'assemblée générale des Nations Unies (1949), 1949 (lire en ligne) Claude Franck et Michaël Bar Zvi, Le Sionisme, Éditions L'Inventaire, 2002 (lire en ligne) Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Instit Azzam Abou Saoud cité par Pierre Barbancey, « Jérusalem à travers le mur », Association France Palestine Solidarité, 14 juin 2007 (consulté le 9 décembre 2008) « Les Tunnels du Kotel et la Chaine des Générations », sur Jérusalem Info, 1er octobre 2014 (consulté le 25 août 2019) Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :2


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