Fougères est une commune française sous-préfecture d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.

Fougères compte 20 653 habitants en 2021, faisant d'elle la troisième commune d'Ille-et-Vilaine après Rennes, la capitale régionale (225 081 habitants), et Saint-Malo (47 323 habitants). Elle devance Bruz (19 651 habitants) et Vitré (18 998 habitants).

Elle est également au cœur de la communauté d'agglomération Fougères Agglomération (55 120 habitants) et du Pays de Fougères regroupant près de 88 000 habitants.

Cette ville comporte de nombreux sites touristiques, tels que son château ou son beffroi. Ses habitants sont appelés les Fougerais et les Fougeraises.

Préhistoire

La présence de nombreux monuments mégalithiques en particulier en forêt de Fougères laisse à penser que la région était déjà habitée au Néolithique (5 000 à 2000 ans av. J.-C.).

Moyen Âge  Fougères : les murailles de la ville (lithographie d'Albert Robida, vers 1900).

La création de Fougères remonte au Moyen Âge. On retrouve la première mention du château de Fougères vers la fin du Xe siècle. C'était à l'époque une simple fortification en bois située sur une crête rocheuse, dont la position dominait avantageusement la vallée du Nançon et les marais environnants. Fougères se trouvait au croisement de deux voies romaines, l'une allant de Chartres à Carhaix et l'autre d'Avranches à Nantes. À partir du XIIe siècle, la population s'éloigne de la rive du Nançon et la ville se développe plus en hauteur, partagée en deux paroisses : Saint-Sulpice pour la ville basse et Saint-Léonard pour la ville haute. Dès le Moyen Âge, l'activité artisanale se développe autour de la tannerie, des tisserands et des drapiers dans la ville basse.

La première fortification bâtie au XIe siècle par les seigneurs de Fougères, défendue par Raoul II (1130-1194), est prise, avec la ville, par Henri II Plantagenêt en 1166 ; le château est rasé[1]. Raoul II, obstiné, la fera reconstruire en plus imposante, et elle deviendra une place forte défendant les frontières de la Bretagne, du mont Saint-Michel à Nantes. Cependant, la position géographique et les intérêts des seigneurs de Fougères les font souvent pencher en faveur du royaume de France. Quand Raoul III offre sa possession à Saint Louis, le prince breton Pierre Mauclerc s'empare de la ville en 1231, qui sera ensuite reprise par le roi. La fille de Raoul III, Jeanne de Fougères, mariée à Hugues XII de Lusignan, entreprendra de nouveaux travaux de fortification et embellira la ville. La fin du XIIIe siècle est une période de paix et de prospérité pour Fougères.

En 1307, Philippe le Bel rachète le domaine mais le royaume de France ne s'y intéresse guère et ne l'entretient pas. Après divers combats et retournements d'alliances, Bertrand du Guesclin y pénètre en 1373, mais la situation ne s'améliore pas. Livrée à elle-même et victime du pillage, la population de Fougères demande assistance au duché de Bretagne. Elle rentre dans son giron en 1428, vendue par Jean II d'Alençon. Mais en 1449, un dénommé François de Surienne, un mercenaire aragonais au service des Anglais, s'en empare et la met à sac, et ce, dans le but de forcer la Bretagne à s'allier à l'Angleterre. Il y a de nombreux massacres, ce qui provoque la réaction de François Ier de Bretagne, bien décidé à se débarrasser des Anglais. Le duc de Bretagne s'allie à Charles VII de France, attaque le sud de la Normandie et met le siège devant Fougères. Surienne et ses hommes parviennent toutefois à résister et se rendent sous condition de pouvoir repartir libres. Cet épisode annonce la bataille de Formigny.

Pendant la Guerre de Bretagne, la garnison bretonne de Fougères envahit le pays d'Ernée et s'empare de la ville, à laquelle ils mettent le feu. L'incendie dure du 18 au 21 mai 1488[2].

Finalement La Trémoille, général français, s'empare de Fougères en 1488.

Temps modernes

Thomas II de Guémadeuc, gouverneur de Fougères, fut craint pour son despotisme[3]. Il fit assassiner en 1615 le baron Jacques II de Névet en raison d'une querelle de préséance lors d'une réunion des États de Bretagne. Le duc de Brissac, lieutenant général du Roi en Bretagne, fit assiéger le château de Fougères afin de s'emparer de lui ; envoyé à Paris, il fut condamné à avoir la tête tranchée en Place de Grève et « icelle portée en la ville de Fougères, plantée au bout d'une pique et fichée sur le principal portail du château »[4].

Au XVIe siècle, la ville perd son rôle défensif. L'artisanat continue à se développer, notamment le travail de l'étain (rue de la Pinterie). Pendant les guerres de Religion, la ville reste catholique alors que Vitré est touchée par les affrontements avec les huguenots.

Fougères connut des épidémies de « fièvre maligne » (peste ? choléra ? dysenterie ? typhus ?) en 1562, 1581, 1632[5].

Jusqu'en 1775, Fougères ne fera plus guère parler d'elle. Le marquis de La Rouërie, un jeune homme exalté, part alors aux États-Unis pour lutter auprès des insurgés américains. De retour en France, après avoir été emprisonné pendant un mois pour avoir mené la conjuration bretonne, il est accueilli en héros au pays natal.

Révolution française  Julien Le Blant, Le Bataillon carré - Affaire de Fougères, 1793, 1880, huile sur toile, Provo, université Brigham-Young.

Lors de la Révolution, la province de Bretagne disparaît ainsi que ses privilèges. Les premiers changements apportés sont bien accueillis, mais la population se divise ensuite : la constitution civile du clergé des prêtres, la levée en masse déclenchent une rébellion, la chouannerie. « Les districts de Vitré, Fougères et La Guerche restent en grande partie gangrenés, (...) la chouannerie est la maladie […] du pays, et quoiqu'il n'y ait pas de grands rassemblements, […] là où il y a un homme, il y a un Chouan de fait ou d'intention. Les patriotes y sont dans une excessive minorité » écrivent les représentants en mission Dubois-Crancé, Alquier et René François-Primaudière[6].

En 1793, lors de la levée en masse, 767 hommes devaient être enrôlés dans le district de Fougères par tirage au sort. En réaction, des attroupements de paysans armés de fusils, de pistolets et de sabres se forment spontanément dès le 10 mars 1793. Les campagnes se soulèvent et bientôt les troubles dégénèrent en émeutes[7]. La même année, pendant la virée de Galerne, les chouans et les Vendéens s'emparent de la ville le 3 novembre 1793 qui est reprise le 18 novembre 1793 par les républicains[8]. Pendant huit ans, la ville et sa région passent de main en main, avec au passage de nombreux massacres et pillages. Le chef des chouans des environs de Fougères était le jeune général Aimé du Boisguy.

L'organisation des fêtes révolutionnaires témoigne cependant du maintien d’un sentiment favorable au nouveau régime :

les victoires des armées républicaines sont fêtées, notamment la reprise de Toulon aux Anglo-royalistes[9] ; la fête du 26 messidor (14 juillet), instituée en 1794, est célébrée à Fougères[9] ; l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, est fêté (à partir de 1795)[10] ; les autres fêtes républicaines sont très suivies, comme l’anniversaire de la République jusqu’à l’an VIII (22 septembre, 1er vendémiaire[11]), la fête de la Jeunesse (le 10 germinal, soit le 30 mars[12]), la fête de la Reconnaissance, pourtant peu suivie dans le département (le 10 prairial[13]) ou celle de l’Agriculture, le 10 messidor[13].Le XIXe siècle Les « Louisets »

La région de Fougères fut concernée par le schisme de la Petite Église, des catholiques refusant le Concordat de 1801, connus localement sous le nom de « Louisets »[14].

Les « chaussonniers »

Pendant longtemps, la forêt de Fougères a été le siège d'une activité intense de sabotiers. Pendant la première moitié du XIXe siècle se développe à Fougères l'industrie du chausson tressé (raison pour laquelle les ouvriers de la chaussure furent par la suite appelés localement « chaussonniers ») ; cette activité fut touchée par la crise à partir de 1850, les chaussons étant désormais fabriqués en tissu). Fougères se reconvertit alors dans l'industrie de la chaussure : 2 200 ouvriers en 1874, 5 000 en 1880, 7 000 en 1884, 11 000 en 1890 ; le nombre d'usines passa de 13 à 27 pendant cette période, la plus importante étant l'usine Cordier, dont les patrons étaient réputés être durs et intransigeants à l'égard de leurs ouvriers[15]. En 1913, 38 "fabriques" de chaussures existaient à Fougères[16]. De nombreuses marques reconnues étaient présentes sur la région, notamment JB Martin, qui a été créée à Fougères en 1921.

Le XXe siècle Le Drapeau de Fougères

Une association sportive pratiquant notamment le tir et la gymnastique, est créée en 1893 : l'Association de l'Œuvre Saint-Joseph, renommée Drapeau de Fougères après la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905 (le terme « drapeau » s'explique par le contexte revanchard consécutif à la défaite de la Guerre de 1870). La section football est créée vers le début de la décennie 1920[17].

La vie industrielle au début du XXe siècle  Albert Robida, Fougères : la Porte Saint-Sulpice (vers 1900), lithographie.

L'industrie remplace peu à peu l'artisanat et Fougères voit l'implantation de manufactures de chaussures. À l'hiver 1906-1907 éclate une grande grève d'ouvriers dans les usines de chaussures fougeraises. La grève dure plusieurs mois, touchant 32 usines. En réaction, les patrons organisent un lock-out qui laissa sans travail des milliers d'ouvriers, ce qui provoqua une grande misère dans la région. La solidarité est très forte dans la ville (soupes « communistes » pour nourrir les familles de grévistes sans revenus) mais aussi au-delà : des enfants sont accueillis dans des familles rennaises et parisiennes le temps du conflit. Jean Jaurès vient à Fougères pour soutenir le mouvement.

 Georges Récipon, Monument au général Jean Ambroise Baston de Lariboisière (1893).

La verrerie existe aussi dans la région fougeraise depuis l’arrivée de maîtres verriers italiens aux XVIe et XVIIe siècles. L’installation de cette industrie dans le Pays de Fougères s’explique par la présence de facteurs indispensables : un terrain sablonneux (le sable étant le composant principal du verre), une forêt (puisque la fusion du sable s’obtenait à haute température) et enfin de la fougère (plante riche en soude). Ainsi, il existait déjà une verrerie aux portes de la ville (à Laignelet) qui prospérait au XIXe siècle. Mais, à la suite des revendications sociales de 1921, le syndicalisme religieux se mobilise, l’abbé Bridel très social, fonde une nouvelle verrerie à Fougères, la Cristallerie fougeraise, ainsi qu'une cité ouvrière pour loger le personnel, construites par l'architecte Hyacinthe Perrin, dès 1922.

La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts de Fougères, créé par Armel Beaufils[18], porte les noms de 640 soldats originaires de la commune morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[19]. Le carré militaire porte les noms de 148 autres soldats morts à Fougères, mais non originaires de cette ville, car Fougères a accueilli dans son hôpital pendant la Première Guerre mondiale de nombreux blessés de guerre[20].

L'Entre-deux-guerres

L'abbé Louis Bridel, vicaire à l'Église Saint-Léonard de Fougères à partir de 1909, fut un militant syndicaliste chrétien et fonda à Fougères plusieurs coopératives : de consommation en 1919, l' Étoile fougeraise de production, comme la Cristallerie fougeraise (à la suite d'une grève en 1921 dans une verrerie locale), d'habitation en 1922 (Le foyer fougerais), d'ameublement et menuiserie en 1924 (Le Genêt d'or) et une coopérative de chaussures en 1928 (l'Abeille)[5].

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Fougères porte les noms de 52 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[19].

Le « groupe Gallais », un groupe de résistants fondé par René Gallais[Note 1] (guide et gardien du château de Fougères), qui avait adhéré à Ceux de la Libération, stockait des armes et aidait des personnes à passer en zone libre. À la suite d'une trahison, une cinquantaine de personnes furent arrêtées le 9 octobre 1941 et 14 membres du réseau Gallais furent déportés en Allemagne où 8 furent guillotinés à la prison Stadelheim de Munich : René Gallais, Jules Frémont, Jules Rochelle, François Lebosse, Raymond Loyzance, Antoine Pérez, Marcele Pitois, Louis Richer. D'autres membres du réseau moururent en Allemagne (Joseph Brindeau, mort d'épuisement à Augsbourg ; Louise Pitois au camp de concentration de Bergen-Belsen)[21] ; seuls survécurent Andrée et Huguette Gallais ainsi que Marcel Le Bastard[22]. Les membres du groupe René Gallais étaient considérés comme "NN" et ceux décédés en Allemagne sont morts pour la France. Ils avaient été dénoncés par « Alain Guerduel » (et son épouse dont le pseudonyme était « Marie Kerlivan »[Note 2]), pseudonyme d'un membre du Parti national breton né à Lézardrieux et qui fut instituteur dans une école privée de Guiscriff en 1939 ; ils sévirent d'abord à Saint-Malo en 1941 avant de s'installer à Fougères et d'infiltrer le réseau Gallais en disposant de faux papiers fabriqués par l' Abwehr qui leur permirent de prétendre être des membres de l' Intelligence Service. « Alain Guerduel », qui participa aussi le 7 juillet 1944 sous l'uniforme du Bezen Perrot à la destruction du maquis de Broualan, parvint à s'enfuir en Allemagne à la fin de la guerre et il y mena une nouvelle vie avec une autre identité [23].

Fougères a aussi eu d'autres collaborateurs notoires, par exemple André Collin, un adhérent du Parti national breton né en 1915, et Gérard Goavec, âgé de 17 ans en 1943, qui devinrent de redoutables agents du SD en 1943-1944 ; ils participèrent notamment à la destruction d'un maquis le 27 juillet 1944 à Saint-Marc-sur-Couesnon en compagnie d'hommes du Bezen Perrot et du groupe d'action du Parti populaire français[24].

La Libération fut marquée par les terribles bombardements américano-britanniques des 6 et 8 juin 1944, qui visaient à rendre la traversée de la ville impraticable pour les troupes allemandes : ce bombardement, qui visait principalement le quartier de la gare, tua 256 personnes (voir la plaque commémorative située square Marcel Ménager)[25], en blessa deux fois plus, et détruisit la plupart des équipements publics et industriels[26]. Sous les bombes, l'ancienne usine Cordier, la sous-préfecture, l’Œuvre Saint-Joseph, la gare, le lycée, etc. furent atteints autant que les logements ouvriers[27].

L'après Seconde Guerre mondiale

Treize soldats originaires de Fougères sont morts pour la France pendant la guerre d'Indochine et sept pendant la guerre d'Algérie[19].

Ville pionnière de l'industrie de la chaussure, la ville perd une partie de ses usines lors du choc pétrolier de 1973, puis les autres ferment successivement[28].

À partir des années 1970, l'industrie s'est diversifiée : agro-alimentaire, ameublement, mécanique, verre, électronique, informatique et robotique. Fougères organise également un important marché au bétail. À partir des années 2000, la ville s'ouvre plus largement au tourisme, grâce à une mise en valeur de son château médiéval et de ses quartiers historiques.

André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », 2014, 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 114. François II de Bretagne s'en excusa, et fit dire à Louis II de La Trémoille qu'il n'y avait eu que quatre ou cinq maisons incendiées pour en faire saillir aucunes gens qui s'y estoient retirez en seureté. Il fit par exemple assassiner à Châtillon-en-Vendelais un jeune homme qui avait protesté contre le refus du gouverneur de donner une sépulture chrétienne à sa mère qui était protestante et dont le corps avait été jeté dans l'étang de Châtillon-en-Vendelais Paul du Breil de Pontbriand, "Histoire généalogique de la maison Du Breil..;", 1889, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55649718/f231.image.r=Lezargant.langFR et Joseph Chardonnet, "Rennes et la Haute-Bretagne', éditions France-Empire, 1980 ↑ a et b Joseph Chardonnet, Rennes et la Haute-Bretagne, éditions France-Empire, 1980. Recueil des actes du Comité de salut public, avec la correspondance officielle des représentants en mission et le registre du conseil exécutif provisoire, tome 13 (en ligne sur Gallica). Pierrick Chuto, Le maître de Guengat, Cloître imprimeurs, 2010 (ISBN 978-2-7466-1655-4). Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, cité par Roger Dupuy, De la Révolution à la chouannerie paysans en Bretagne 1788-1794, Paris, Flammarion, coll. « Nouvelle bibliothèque scientifique. », 1988, 363 p. (ISBN 978-2-08-211173-7, OCLC 708297244). ↑ a et b Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », dans Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 397. Dubreuil, Fêtes…, p. 398-399. Dubreuil, Fêtes…, p. 401. Dubreuil, Fêtes…, p. 402. ↑ a et b Dubreuil, Fêtes…, p. 406. Joseph Chardonnet, Rennes et la Haute-Bretagne, éditions France-Empire, 1980 "Histoire de la Bretagne et des pays celtiques de 1789 à 1914", Skol Vreizh, 1980 Jérôme Caracull, L’industrie de la chaussure à Fougères avant 1914 d’après les dossiers de faillite des entreprises, "Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest", 2007, consultable https://abpo.revues.org/602?lang=en Romain Leroux, « Drôle de nom pour un club de foot :Fougères, unis sous un même Drapeau », sur Journal Le Télégramme, 7 juin 2021 (consulté le 8 juin 2021). « Monument aux morts de 14-18 – Fougères | E-monumen », sur e-monumen.net, 1er novembre 2011 (consulté le 3 octobre 2023). ↑ a b et c MémorialGenWeb Relevé v21 MémorialGenWeb Relevé v21 MémorialGenWeb Relevé v21 https://www.ouest-france.fr/bretagne/fougeres-35300/le-reseau-gallais-resistants-des-les-premiers-mois-de-loccupation-3985816 et https://www.ouest-france.fr/bretagne/noublions-jamais-le-groupe-gallais-3709179 Kristian Hamon, "Agents du Reich en Bretagne", chapitre Trahir en couple, Skol Vreizh, 2011, (ISBN 978-2-915623-80-2) et https://www.shabretagne.com/scripts/files/58977dad88c9f0.63703713/2012_55.pdf Kristian Hamon, "Agents du Reich en Bretagne", chapitre Un jeune « Lacombe Lucien » breton, Skol Vreizh, 2011, (ISBN 978-2-915623-80-2) et https://www.shabretagne.com/scripts/files/58977dad88c9f0.63703713/2012_55.pdf MémorialGenWeb Relevé v21 La vie quotidienne sous les bombardements « lachroniquerepublicaine.fr/dos… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?). Laurence Héry et Florent Le Bot, « La chaussure en France au XXe siècle : la fin d’une industrie ? Comparaison du SPL fougerais et de l’entreprise Noël à Vitré, face aux crises des années 1930 et des années 1970-1980 », P. Lamard, N. Stoskopf (dir.), Une décennie de désindustrialisation (1974-1984) ?, éd. A. et J. Picard, 2009, p. 217-234. https://www.cairn.info/1974-1984--9782708408616-p-217.htm


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