Empire State Building

L'Empire State Building est un gratte-ciel de style Art déco situé dans l'arrondissement de Manhattan, à New York. Il est situé dans le quartier de Midtown au 350 de la 5e Avenue, entre les 33e et 34e rues. Inauguré le , il mesure 381 mètres (443,2 avec l’antenne) et compte 102 étages.

En 2022, il est le septième immeuble de la ville de New York par sa hauteur d'antenne, derrière le One World Trade Center et la Central Park Tower. Il avait retrouvé sa première place à la suite de l'attentat terroriste du 11 septembre 2001 qui a causé la destruction des tours jumelles du World Trade Cent...Lire la suite

L'Empire State Building est un gratte-ciel de style Art déco situé dans l'arrondissement de Manhattan, à New York. Il est situé dans le quartier de Midtown au 350 de la 5e Avenue, entre les 33e et 34e rues. Inauguré le , il mesure 381 mètres (443,2 avec l’antenne) et compte 102 étages.

En 2022, il est le septième immeuble de la ville de New York par sa hauteur d'antenne, derrière le One World Trade Center et la Central Park Tower. Il avait retrouvé sa première place à la suite de l'attentat terroriste du 11 septembre 2001 qui a causé la destruction des tours jumelles du World Trade Center, mais l'a reperdue en 2012 avec la construction du One World Trade Center. L'Empire State Building a été pendant des décennies le plus haut immeuble du monde. Il tire son nom du surnom de l'État de New York, The Empire State.

Considéré comme l'une des Sept Merveilles du monde moderne par l'American Society of Civil Engineers, l'Empire State Building est un immeuble caractéristique du panorama urbain new-yorkais, et compte parmi les symboles les plus célèbres de New York. Au 86e étage, un observatoire ouvert au public offre une vue panoramique impressionnante sur New York. Le sommet de l'édifice est éclairé en fonction des différents événements du calendrier, de la fête nationale américaine au marathon de New York.

L'Empire State Building est présent dans de très nombreux films et séries télévisées se déroulant à New York. La mise en scène la plus célèbre de l'immeuble se déroule pendant le film King Kong de 1933 dans lequel le gorille géant l'escalade pour échapper à ses poursuivants et aux avions.

Conception et organisation du chantier

Les plans de l'Empire State Building ont été réalisés par la compagnie d'architectes Shreve, Lamb and Harmon[1],[2]. L’architecte en chef, William F. Lamb[3], décrit le projet qu'on lui avait attribué en ces mots :

« Le programme tient en quelques lignes : budget fixé, pas plus de 8,50 mètres entre la fenêtre et le couloir et autant d'étages que possible. Façade en calcaire et date d'achèvement des travaux le 1er mai 1931, ce qui signifie un délai d'un an et demi à partir des ébauches des plans[4]. »

 Un skyboy, ouvrier travaillant sur le chantier de l’Empire State Building, sans protection au-dessus du vide. Au second plan, le Chrysler Building.

Les plans furent achevés en l'espace de deux semaines et s’inspiraient de ceux du Reynolds Building[2] qui avait été réalisés par le même cabinet d'architectes, et ceux de la Carew Tower, située à Cincinnati, qui avait, elle, été réalisée par l'architecte Walter W. Ahlschlager (en)[5].

La construction fut placée sous la direction de Starrett Brothers and Eken[6]. Le chantier était financé par John J. Raskob (ex-dirigeant de General Motors), qui avait créé, en 1929, associé à Coleman du Pont (en), Louis G. Kaufman (en) et Ellis P. Earle l'Empire State, Inc[7] La construction était ainsi supervisée par Alfred E. Smith[8], ancien gouverneur de l'État de New York et candidat malheureux de la présidentielle de 1928, nommé président de l'entreprise par Raskob. Le coût total du projet s'éleva, terrain compris, à 40 948 900 $ mais, du fait du krach boursier de 1929, la valeur du bâtiment ne dépassa pas 24 718 000 $, c'est-à-dire un peu plus de la moitié du budget initial.

Construction

Les travaux d'excavation débutèrent en janvier 1930 sur l'emplacement de l'ancien hôtel Waldorf-Astoria, rasé l'année précédente. Ces travaux permirent le début effectif de la construction le 17 mars. Jusqu'à 3 400 ouvriers[9] pouvaient travailler en même temps sur le projet, essentiellement des immigrés européens et plus d'une centaine d'ouvriers mohawks (les Ironworkers)[10]. Parmi les nombreux ouvriers travaillant sur le chantier, les sky boys[11] (littéralement : « Les garçons du ciel ») devaient assembler les différents composants de l'armature métallique de l'immeuble, à plusieurs centaines de mètres du sol, souvent sans la moindre protection. Il nous reste de nombreuses images de ces ouvriers, notamment plusieurs photographies sur lesquelles on les voit déjeuner, assis sur des poutres, au-dessus du vide[12],[13]. Selon un rapport officiel, cinq ouvriers trouvèrent la mort durant la construction[14] : ce chiffre ne comprenait étonnamment aucun sky boy, qui étaient pourtant les ouvriers qui prenaient le plus de risques[15]. Les premiers travaux de maçonnerie débutèrent en juin 1930 et s'achevèrent le 13 novembre de la même année. La construction évolua au rythme de quatre étages et demi par semaine[16] et a requis environ sept millions d'heures de travail[17],[18].

Le 17 septembre 1930, Alfred E. Smith posa la pierre angulaire symbolique du bâtiment, devant une foule de cinq mille personnes, avec une truelle en argent[19]. L'immeuble ouvrit ses portes le 1er mai 1931. La construction dura un an et quarante-cinq jours, soit un total de 410 jours (dimanches et vacances compris) ce qui permit au gratte-ciel d'être achevé avant la date prévue. L'inauguration fut menée de façon très solennelle, puisque c’est le président des États-Unis de l'époque, Herbert Hoover qui actionna l'éclairage de l'immeuble en appuyant sur un bouton depuis Washington[20],[21],[22],[23].

Plus haut bâtiment du monde  Le centre de Manhattan, en 1932.

Pendant la construction de l'Empire State Building, deux autres grands bâtiments étaient sur le point d'être achevés, le 40 Wall Street et le Chrysler Building[24]. La « guerre » était ouverte entre H. Craig Severance et William Van Alen[25], architectes respectifs des deux gratte-ciel, et c'est finalement Van Alen qui la remporta grâce aux 319 mètres de son Chrysler Building, achevé en 1930. Mais le succès de Van Alen et de Walter Chrysler fut bref, puisque moins d’un an plus tard, l'Empire State Building s'imposait de loin comme le nouveau détenteur du record du plus haut bâtiment au monde. Le succès était double pour Raskob, qui dépassait son rival Chrysler sur un autre terrain, en tant que fondateur de General Motors. L'antenne, installée en 1952 accentua encore l'avance de l'Empire State Building sur ses rivaux, puisqu’il resta le plus haut bâtiment du monde jusqu’en 1967, année de la construction de la tour Ostankino (537 mètres) à Moscou[26],[27].

Premières années difficiles

Le bâtiment ouvrit ses portes au moment où la Grande Dépression frappait les États-Unis. La moitié des bureaux restèrent vides[28], faute de locataires. Cela amena les New-Yorkais à surnommer ironiquement le gratte-ciel « Empty State Building » (empty signifiant « vide »)[29]. Durant cette période de récession économique, l'immeuble coûta plus d'argent qu'il n'en rapporta, et l'Empire State Building ne devint pas rentable avant 1950. Ces difficultés financières contraignirent Raskob à vendre l’immeuble en 1951, pour un montant avoisinant les 34 millions de dollars, à un groupe dirigé par Roger I. Stevens[30]. Mais ce dernier le céda à son tour en 1954, à un groupe de Chicago, dirigé par le colonel Henry Crown (en)[31],[32]. L'opération se révéla intéressante étant donné que l'immeuble fut revendu pour 51,5 millions de dollars[16],[33].

Bataille de propriété

L'Empire State Building était donc possédé depuis 1954 par Henry Crown, qui avait acquis l'immeuble pour 51,5 millions de dollars. En 1991, une véritable guerre pour prendre possession du gratte-ciel le plus célèbre de New York débuta. En effet, cette année-là, le Prudential Trust (fonds prudentiel), qui détenait officiellement l'Empire State Building décida de le vendre[33]. Le prix demandé par le fonds était de 40 millions de dollars, mais en raison d'un bail de 114 ans sur l'immeuble (bail détenu par Leona Helmsley[34], veuve du milliardaire Harry Helmsley, et l'homme d'affaires américain Peter L. Malkin (en)), le futur possesseur du gratte-ciel recevrait 1,98 million de dollars par an. Un conflit opposant le magnat de l'immobilier Donald Trump, l'homme d'affaires japonais Hidekei Yokoi et sa fille Kiiko Nakahara[35], Leona Helmsley[36], et Peter Malkin, débuta alors. Ce conflit ne s'acheva qu'en 2000, et c’est Trump qui remporta l'immeuble[37],[38],[39].

À la suite des attentats du 11 septembre 2001, l'immeuble changea à nouveau de propriétaire. Le 19 mars 2002, c’est Peter Malkin[40] qui en prit le contrôle, moyennant 57,5 millions de dollars[41], alors qu'il avait, selon le Wall Street Journal, lancé plusieurs offres d'achat consécutivement aux attaques terroristes qui avaient fait perdre de sa valeur au bâtiment. Le traumatisme des attentats avait même poussé les différents locataires à vouloir résilier leurs baux.

W&H Properties[42] a repris la gestion du bâtiment, en août 2006 et lance fin 2009 un grand programme de rénovation de 500 millions de dollars sous la direction de Belle Architects & Planners[43],[44],[45].

Accident aérien du B-25 Mitchell

Le samedi 28 juillet 1945, à la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, un bombardier B-25 Mitchell[46] s'écrasa sur la face nord de l'immeuble au niveau du 79e étage, alors qu'il volait par un épais brouillard (le brouillard fut tel que le pilote aurait dit aux contrôleurs « … c'est très difficile, je ne vois même pas l'Empire State… »). L'incendie fut éteint en 40 minutes mais 14 personnes périrent dans l'accident[47],[48],[49]. Parmi les rescapés, Betty Lou Oliver, opératrice d'ascenseur[50], a survécu à une chute de 75 étages, à l'intérieur d'un ascenseur, ce qui demeure encore aujourd'hui un record du Guinness[51]. En dépit des dégâts et des décès, le bâtiment ouvrit tout de même normalement ses portes le lundi suivant[52].

Suicides  Barrière autour de l'observatoire du 86e étage.

En dépit des protections placées au sommet du gratte-ciel, environ trente personnes se sont suicidées en se jetant du sommet de l'Empire State Building. La barrière autour de l'observatoire du 86e étage a été ajoutée en 1947 après que cinq personnes eurent tenté de se jeter dans le vide, dont Evelyn Francis McHale le 1er mai à dix heures quarante[53]. La fiancée de vingt trois ans dont le visage est resté intact dans le métal broyé de la limousine sur laquelle son corps chuta[54],[55], inspira à Andy Warhol une des sérigraphies de Death and Disaster[56]. Son écharpe blanche, accompagnant sa chute[53], inspira également François Truffaut pour la scène d'introduction de La mariée était en noir. Ophélie des temps photographiques[57],[58], Evelyn McHale, à la différence de l'Inconnue de la Seine, a expliqué ce qui figure « le plus beau des suicides »[59] par un mot laissé sur la plate forme du quatre-vingt sixième étage, au lendemain d'une visite à son fiancé, l'ex-GI Barry Rhodes[60] : « (…) Je ne ferais une bonne épouse pour personne. Il est bien mieux sans moi (…) j'ai trop des tendances de ma mère. »[61].

Les cas les plus récents de suicide remontent à 2004, 2006, 2009, 2010. Le suicide le plus récent connu est celui de l'étudiant de l'université Yale, Cameron Dabaghi, qui s'est suicidé le 30 mars 2010 en sautant de la terrasse d'observation du 86e étage de l'Empire State Building[62],[63].

Deux personnes sont connues pour avoir échappé à la mort après avoir tenté de se suicider en se jetant du sommet de l'immeuble. C'est le cas de Thomas Helms qui tenta le 22 décembre 1977, à l'âge de 26 ans, de se suicider en sautant dans le vide depuis le 86e étage. Mais ayant pris trop peu d'élan, il retomba sur la corniche du 85e étage, sans blessure trop importante[64],[65]. En 1979, c'est Elvita Adams[66], jeune femme âgée de 29 ans qui tenta de se donner la mort ; elle prit suffisamment d'élan pour sauter, mais une rafale de vent la ramena également sur la corniche du 85e étage, et elle s'en tira avec une hanche brisée.

Rénovation et efficacité énergétique

En 2010, la rénovation de l'intérieur de l'Empire State Building a été achevée[67]. Elle avait pour objectif de renforcer l'efficacité énergétique du gratte-ciel new-yorkais. Les quelque 6 500 vitres à double vitrage du bâtiment ont été rénovées et une couche supplémentaire de film isolant a été ajoutée[67]. Les espaces entre chaque vitre ont été remplis de krypton et de gaz argon, ce qui empêche le transfert de chaleur[67]. Un système automatisé lève et abaisse les stores en synchronisation avec le soleil[67]. Dans les espaces de travail, un système de lumières LED automatisées a été installé[67]. La rénovation a coûté 31,1 millions de dollars mais a permis, dix ans plus tard, d'économiser 4 millions de dollars par an sur la facture d'électricité[67]. La consommation d’électricité de l’Empire State Building a chuté de plus de 40%[67]. Chaque année depuis 2010, l’Empire State Building reçoit la certification ''Energy Star''. Parmi les scores d’efficacité énergétique fournis par l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA), l’Empire State Building a obtenu un A[67].

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