Contexte de Cuba

Cuba, en forme longue la république de Cuba (en espagnol : República de Cuba), est un État insulaire des Caraïbes formé de l'île de Cuba (la plus grande île des Antilles), de l'île de la Jeunesse (appelée île aux Pins jusqu'en 1978) et de 4 095 cayes et îlots,,. Il est situé à l'ouest des grandes Antilles, à la confluence de la mer des Caraïbes, du golfe du Mexique et de l'océan Atlantique ; au nord-est des Îles Caïmans ; au nord-nord-ouest de la Jamaïque ; à l'est du Mexique (Yucatán) ; au sud-sud-est de la péninsule de Floride ; au sud-ouest des Bahamas ; à l'ouest d'Haïti et des îles Turques-et-Caïques.

Première île des Caraïbes en termes de superficie, devançant Hispaniola (qui abrite deux pays : Haïti et la République dominicaine), l'île de Cuba est toutefois derrière en nombre d'habitants avec près de 11 253 000...Lire la suite

Cuba, en forme longue la république de Cuba (en espagnol : República de Cuba), est un État insulaire des Caraïbes formé de l'île de Cuba (la plus grande île des Antilles), de l'île de la Jeunesse (appelée île aux Pins jusqu'en 1978) et de 4 095 cayes et îlots,,. Il est situé à l'ouest des grandes Antilles, à la confluence de la mer des Caraïbes, du golfe du Mexique et de l'océan Atlantique ; au nord-est des Îles Caïmans ; au nord-nord-ouest de la Jamaïque ; à l'est du Mexique (Yucatán) ; au sud-sud-est de la péninsule de Floride ; au sud-ouest des Bahamas ; à l'ouest d'Haïti et des îles Turques-et-Caïques.

Première île des Caraïbes en termes de superficie, devançant Hispaniola (qui abrite deux pays : Haïti et la République dominicaine), l'île de Cuba est toutefois derrière en nombre d'habitants avec près de 11 253 000 habitants. Sa capitale est La Havane, sa langue officielle l'espagnol et sa devise le peso cubain.

L'île a été une colonie espagnole de 1492 à 1898 puis un territoire des États-Unis jusqu'au 20 mai 1902. Depuis la révolution cubaine de 1959, le pays se définit comme une république socialiste, bien que Fidel Castro n'officialise le caractère socialiste du régime que le 17 août 1961, à la suite de l'épisode de la baie des Cochons, dont le Parti communiste de Cuba, créé en 1965, constitue la « force dirigeante supérieure » et, de fait, le parti unique. Le régime est souvent qualifié de dictature,. En avril 2023, Miguel Díaz-Canel est réélu président de la République par l'Assemblée nationale avec 97,66 % des voix.

Cuba est membre de l'Alliance bolivarienne pour les Amériques (ALBA) depuis la Déclaration conjointe signée par Hugo Chávez et Fidel Castro le 14 décembre 2004 à La Havane.

Plus à propos Cuba

Informations de base
  • Devise Peso cubain
  • Nom natif Cuba
  • Indicatif d'appel +53
  • Domaine Internet .cu
  • Mains voltage 110V/60Hz
  • Democracy index 2.84
Population, Area & Driving side
  • Population 10985974
  • Zone 109884
  • Côté conduite right
Historique
  • Préhistoire Histoire pré-coloniale

    Cuba était peuplée d'Amérindiens : les Ciboneys et les Taïnos. Les Ciboney étaient des chasseurs et des pêcheurs qui ont laissé des peintures rupestres - plus de 200 dans les grottes de Punta del Este sur la Isla de la Juventud. Les Tainos vivaient de la culture et de la chasse et possédaient une forme primitive d'organisation sociale. Ces sociétés disparurent en moins de 50 ans au contact des Européens.

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    Préhistoire Histoire pré-coloniale

    Cuba était peuplée d'Amérindiens : les Ciboneys et les Taïnos. Les Ciboney étaient des chasseurs et des pêcheurs qui ont laissé des peintures rupestres - plus de 200 dans les grottes de Punta del Este sur la Isla de la Juventud. Les Tainos vivaient de la culture et de la chasse et possédaient une forme primitive d'organisation sociale. Ces sociétés disparurent en moins de 50 ans au contact des Européens.

     
    Premier voyage de Christophe Colomb.
    Histoire coloniale

    La monarchie catholique espagnole conquiert l'île au cours du XVIe siècle après la découverte de l'île par Christophe Colomb le 28 octobre 1492[1] et l'intègre à son empire. La domination espagnole durera jusqu'à la signature du traité de Paris en 1898. Au cours de ces quatre siècles, de nouvelles villes verront le jour dont Santiago de Cuba (1514) et La Havane (1515). Malgré les efforts de Bartolomé de las Casas, la population indienne payera un lourd tribut : elle sera pratiquement décimée en quelques années.

     
    Carte britannique de 1680.

    Déçus par la faible productivité des mines d'or, les conquistadors décident de faire de Cuba leur plaque tournante vers le continent et l'utilisent comme escale pour les navires chargés des richesses du Nouveau Monde à destination de l'Espagne. L'île se tourna donc vers de nouvelles activités : tabac (plus ou moins 300 millions de cigares par an ainsi qu'une douzaine de milliards de cigarettes brunes ou blondes), café et canne à sucre (héritée de quatre siècles de colonisation espagnole et qui procure à Cuba le plus gros de ses ressources). Cette dernière activité nécessitant une main d'œuvre importante, il sera fait appel aux esclaves africains. Il semble que l'on ait cultivé dès 1523 la canne à Cuba où elle a trouvé les meilleures conditions de croissance : climat chaud, sols humides et, juste avant la coupe, une période sèche propice à la concentration du saccharose. En 1620, Cuba produisait 550 tonnes de canne à sucre.

     
    Château de Jagua. C'est la troisième forteresse militaire de Cuba édifiée par le roi Philippe V d'Espagne pour combattre pirates des caraïbes et boucaniers. Elle se situe dans le canal d'entrée de la baie de Cienfuegos. Sa construction se termine en 1745 et est inaugurée sous le nom de « Château de Notre Dame des Anges de Jagua ».

    En 1763, il n'y avait pas plus de trente-six mille esclaves dans toute l'île. La culture sucrière, sans être négligeable, était très loin du niveau des colonies françaises, comme Saint-Domingue, ou anglaises, comme la Jamaïque. Après la longue guerre qui dure de 1791 à 1803 contre les esclaves noirs beaucoup de propriétaires blancs de Saint-Domingue fuient à Cuba où ils apportent capitaux et savoir-faire. De 1792 à 1860, on introduit à Cuba plus de sept cent vingt mille esclaves, plus qu'au cours des deux siècles précédents. Ensuite, les planteurs francophones viennent grossir le flot des Réfugiés français de Saint-Domingue en Amérique.

    Même si, au XVIIe siècle, la population avait augmenté avec l'arrivée des colons espagnols et des esclaves africains, Cuba était encore, au début du XVIIIe siècle, une petite colonie. Pendant l'été 1762, la capitale fut conquise par les Anglais conduits par Georges Keppel et lord Albemarle. Ils allaient régner sur l'île pendant neuf mois. Aussi brève fût-elle, l'occupation anglaise modifia l'organisation économique et sociale de Cuba. Les restrictions commerciales imposées par l'Espagne furent abolies, marquant le début des échanges avec les colonies anglaises d'Amérique du Nord. Le trafic des esclaves s'intensifia pour fournir la main d'œuvre nécessaire dans les plantations. À l'issue du traité de Paris, signé en 1763, Cuba fut rendue à l'Espagne en échange de la Floride attribuée aux Britanniques.

     
    Carte de l'île de Cuba. 1888, J. Dosserray.

    Dans les régions plantées de palmiers royaux, trop accidentées pour les machines modernes, des brigades de travailleurs de provinces et de villes différentes et de toutes professions viennent encore couper la canne à la machette. Volontaires, nourris six fois par jour[réf. nécessaire], pouvant gagner cinq fois plus qu'un ouvrier ordinaire, ils ont droit à tous les égards. Au XVIIIe siècle, le châtiment le plus redouté par l'esclave urbain était d'être vendu aux planteurs de l'intérieur ; prisonniers du domaine, les Noirs ne recevaient ni argent ni éducation.

    Plus de 360 000 esclaves débarquèrent entre 1820 et 1860 au port de La Havane, qui comptait au début du siècle 40 000 Blancs et 30 000 esclaves. L'esclavage, fondement de l'économie coloniale et source des richesses de l'aristocratie créole, fut définitivement aboli en 1886[2], par une loi de 1880, et entièrement supprimé dans les faits en 1888.

    Indépendance
     
    Carlos Manuel de Céspedes, le Père de l'Indépendance cubaine.

    Les luttes pour l'indépendance contre l'Empire colonial espagnol remontent au milieu du XIXe siècle avec la guerre des Dix Ans qui débuta en 1868. La guerre d'indépendance cubaine proprement dite a lieu en 1896-1898 ; c'est pendant cette guerre que sont mis en place, pour la première fois dans l'Histoire, des camps de concentration[3]. Le général espagnol Valeriano Weyler a organisé la déportation de 400 000 civils cubains, dans le but de les séparer des rebelles, qui trouvaient auprès des paysans abri et nourriture. 100 000 Cubains sont morts des suites de la politique espagnole de reconcentration[3]. Les États-Unis intervinrent sous des prétextes humanitaires, dans la guerre d'indépendance cubaine, qui avait fait 200 000 morts depuis 1895 (soit 1/8 de la population), lors de la guerre hispano-américaine. Ils occupèrent ensuite l'île de 1901 à 1902, puis de 1905 à 1909.

    Le 20 mai 1902, les forces armées des États-Unis évacuent pour l'essentiel le territoire cubain et la République de Cuba est officiellement créée. Pour la première fois de leur histoire, l'indépendance des Cubains est reconnue formellement, mais aux termes de l'amendement Platt, c'est-à-dire nominalement indépendante car sous protectorat. Les États-Unis poursuivirent une ingérence marquée jusqu'en 1934 (par révocation de l'« amendement Platt » et par politique de bon voisinage).

    Le 20 mai 1925, Gerardo Machado accède à la présidence, avec le soutien du Parti libéral et des États-Unis. Il dirige le pays d'une main de fer jusqu'en 1933, supprimant la liberté de la presse et réprimant l'opposition. La police secrète est organisée de manière à exercer un étroit contrôle sur le pays et les hommes de main du régime, les porristas, font le coup de feu en pleine ville, assurés de l'impunité.

    La police use de méthodes similaires à celles utilisées au Mexique (loi mexicaine du 25 janvier 1862) promulguée durant la présidence de Benito Juárez[4],[5], qui ordonne, dans son article 28, d'abattre un prisonnier qui prend la fuite. Procédé permettant l'élimination de nombre d'opposants gênants. Certains prisonniers sont même jetés aux requins[réf. nécessaire].

    Le tourisme en provenance des États-Unis se développe considérablement. Les mouvements étudiants, les syndicats et les mouvements d'inspiration socialiste résistent à la dictature, ce qui aboutit à sa chute en 1933[6][source insuffisante].

    Durant cette période et en particulier sous les gouvernements de Fulgencio Batista (1940-1944 et 1952-1959), l'île est massivement investie par la Cosa nostra qui y installe casinos et pratique le blanchiment d'argent à grande échelle[7]. Les mafias italo-américaines trouvent à Cuba « calme, impunité, profits » et pratiquent la corruption des élites locales à large échelle. Une convergence d'intérêts se crée entre Cosa nostra, les grandes sociétés américaines implantées dans l'île et le gouvernement des États-Unis, notamment de ses services de renseignement[7].

    Révolution et guerre froide

    Fidel Castro, en opposition avec l'idéologie capitaliste du nouveau dictateur, organise un premier coup d'État le 26 juillet 1953 sur la caserne de Moncada, qui échoue. Ses participants et Fidel Castro lui-même sont jugés et emprisonnés. Deux ans plus tard, les protestations civiles demandant la libération de Fidel Castro poussent le gouvernement de Fulgencio Batista à l'expulser du pays. Il est ainsi libéré sous contrainte de s'exiler au Mexique. C'est là-bas qu'il prend la tête d'une armée rebelle en 1956, accompagné de son frère Raúl Castro et de Che Guevara, en voyage dans le pays. La troupe, faite de 82 hommes, prend le temps d'organiser une stratégie et de se former militairement pour renverser la dictature. Au même moment, le bateau El Grandma est rénové, et leur sert à la traversée du Mexique à Cuba. De retour à Cuba avec son armée, il renverse la dictature de Fulgencio Batista le 1er janvier 1959. Les États-Unis sont, en 1959, l'une des premières nations à reconnaître diplomatiquement le nouveau gouvernement, mais les rapports entre les deux pays se gâtent dès le mois de mai de la même année, lors de la nationalisation des avoirs étrangers (dont ceux de United Fruit Company).

     
    Carte indiquant la baie des Cochons

    Par la suite, du 17 au 19 avril 1961 eut lieu la tentative de débarquement à la baie des Cochons de 1 400 réfugiés, recrutés, payés et entraînés par la CIA américaine, qui se solda par un échec. Les États-Unis mirent alors en place un embargo économique en 1962, mais renoncèrent à toute invasion de Cuba, pourtant un temps envisagée selon les plans de l'opération Northwoods mais dont la mise en œuvre fut finalement refusée par le président John Kennedy, aux termes d'un accord signé pour conclure l'affaire des missiles de Cuba.

    L'embargo des États-Unis contre Cuba est un embargo économique, commercial et financier, mis en place par les États-Unis à l'égard de Cuba à partir du 7 février 1962, à la suite d'expropriation et nationalisations des compagnies cubaines et américaines. Cet embargo commercial est le plus long de l'histoire moderne.

    Le pays fut longtemps soutenu par l'URSS qui lui accordait une aide (4 à 6 milliards de dollars américains par an jusqu'en 1990) en échange de son alignement sur sa politique : envoi de forces cubaines dans plusieurs pays d'Afrique pour protéger des gouvernements communistes ou déstabiliser ceux du « camp adverse », soutien aux mouvements révolutionnaires d'Amérique latine. Mais cette question fait l'objet de controverses. Cuba avait sa propre logique tiers-mondiste et une population noire était particulièrement tentée d'envoyer de sa propre initiative des soldats en Angola en novembre 1975 soutenir le MPLA quand les troupes sud-africaines envahirent l'ancienne colonie portugaise. L'URSS intervint après pour aider les Cubains à redresser une situation militaire très difficile. En Amérique latine, Moscou avait conclu avec Washington en mai 1972 un « code de bonne conduite » qui lui interdisait d'aider militairement les mouvements révolutionnaires. À l'automne 1981, accusé par Ronald Reagan de fournir des armes à la guérilla salvadorienne, Fidel Castro démentit et invoqua la clause d'un accord avec l'URSS qui lui interdisait d'exporter les armes vers les guérillas latino-américaines. Cuba fait face à une grave crise économique depuis la disparition de l'URSS et le maintien de l'embargo des États-Unis.

    Cinq agents de Cuba sont détenus aux États-Unis[8]. Arrêtés en septembre 1998, ils ont été condamnés en décembre 2001 à Miami, pour, notamment, conspiration en vue de commettre des actes d'espionnages et des délits. La justice américaine leur reproche de s'être fait employer à la Key West Naval Air Station pour espionner pour le compte du gouvernement cubain, ainsi que pour avoir fourni des informations ayant permis à l'armée cubaine d'abattre deux avions américains d'organisations cubo-américaines, hors du territoire cubain, faisant quatre victimes américaines[9]. En appel, certaines des condamnations ont été maintenues et d'autres revues à la baisse. En 2009, les peines de prison infligées ont été revues à la baisse. Selon le gouvernement cubain, ces agents n'étaient pas des espions mais devaient infiltrer des organisations terroristes anti-cubaines basées à Miami, organisant des attentats ultérieurement. Selon les défenseurs de ces agents, des violations de la loi dans leur traitement et leur procès auraient eu lieu. Au niveau international, de nombreuses organisations comme Amnesty International ont appelé à un nouveau procès, jugeant le fonctionnement de la justice inéquitable mais la cour suprême américaine a refusé de revoir le cas.

    Selon Cuba, de nouvelles sanctions ont été introduites à son encontre par le gouvernement américain sous la présidence de George W. Bush[10]. La Commission for Assistance to a Free Cuba (en), créée en 2003 par le président Bush, a proposé de dégager tous les deux ans une somme de 80 millions de dollars destinée à financer activement « l'opposition démocratique cubaine » avec pour but « d'aider la société civile cubaine à réaliser la transition démocratique[11] » et la mise en place d'un « gouvernement de transition » reconnu par les États-Unis. En 2008, l'agence gouvernementale USAID s'est engagée à rendre effectives les propositions de la commission afin de lutter contre « la tyrannie à Cuba[12] ».

    Le gouvernement cubain reproche également aux États-Unis d'héberger plusieurs terroristes ayant commis des attentats à Cuba, parmi lesquels Luis Posada Carriles (dont il réclame l'extradition au Venezuela[13]) et Orlando Bosch Ávila. Luis Posada Carriles a déclaré dans le New York Times du 12 juillet 1998 avoir été financé par la Cuban American National Foundation (CANF) (« Fondation nationale cubano-américaine »), organisation officielle basée à Miami.

    Réchauffement des relations avec les États-Unis

    Fidel Castro dirige Cuba jusqu'au 31 juillet 2006 puis c'est son frère Raúl Castro Ruz qui, après avoir assuré l'intérim du pouvoir, est élu le 24 février 2008 président du Conseil d'État et du Conseil des ministres par l'Assemblée nationale.

    En mars 2009, le Congrès des États-Unis autorise les citoyens américains d'origine cubaine à se rendre à Cuba une fois par an[14] ; puis, le 13 avril 2009, le président annonce la fin des restrictions sur les voyages et les transferts d'argent des Cubano-Américains vers l'île[14]. Il est toujours interdit d'envoyer de l'argent à des membres de la fonction publique ou de l'armée cubaine[14], et l'embargo est, pour sa plus grande partie, maintenu.

     
    Panneau anti-impérialiste installé devant les locaux de la Section des intérêts des États-Unis à La Havane.

    Le 17 décembre 2014, les deux pays annoncent conjointement la reprise de leurs relations diplomatiques, impliquant un assouplissement de l'embargo américain sur Cuba[15]. À cette occasion, les trois agents cubains toujours emprisonnés aux États-Unis sont libérés.

    Le 20 juillet 2015, les bâtiments qui abritaient jusqu'à présent les sections d’intérêts dans chaque capitale ont retrouvé leur statut d’ambassade[16]. Les employés ont été accrédités auprès de ces dernières et les chefs de mission sont devenus chargés d'affaires, en attendant la nomination d'ambassadeurs.

    Le 20 mars 2016, le Président américain Barack Obama fait une visite officielle à Cuba. C'est la première fois depuis 1928 qu'un Président américain en exercice se rend sur le sol cubain[17].

    Les relations entre les deux pays se détériorent après l'arrivée au pouvoir de Donald Trump. La nouvelle administration cite Cuba comme partie intégrante de la « troïka de la tyrannie » (au côté du Venezuela et du Nicaragua) en Amérique latine[réf. souhaitée]. Des sanctions économiques sont dirigées vers l'ile, notamment de fortes restrictions de l'activité touristique[18].

    Paul Massé, Histoire économique et sociale du monde : De l'origine de l'Humanité au XXe siècle : Économie générale et société, évolution des théories économiques, t. 1, L'Harmattan, 2011. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Vicent ↑ a et b Annette Becker, «LA GENÈSE DES CAMPS DE CONCENTRATION : CUBA, LA GUERRE DES BOERS, LA GRANDE GUERRE DE 1896 AUX ANNÉES VINGT», Revue d’Histoire de la Shoah, 2008/2 N° 189, pages 101 à 129 [1] [2] Jean Lamore, José Martí: la liberté de Cuba et de l'Amérique latine, Éditions ellipses, 2017. ↑ a et b Jean-François Gayraud, « Les deux pôles de la mondialisation criminelle », Conflits : histoire, géopolitique, relations internationales, no 13,‎ janvier-mars 2017, p. 21-23. René Gonzalez Sehweret, Gerardo Hernandez Nordelo, Ramón Labañino Salazar, Fernando González Llort et Antonio Guerrero Rodríguez (en) ca11.uscourts.gov [PDF]. Rapport de Cuba sur la résolution 58/7 de L’Assemblée Générale des Nations Unies, Granma, 30 septembre 2004 (en) Commission for assistance to a free Cuba publiée par le Département d'État, archive, juillet 2006 [PDF]. (en) USAID Governing Justly & Democratically (es) « Luis Posada Carriles debe ser juzgado por sus crímenes », sur granma.cubaweb.cu, juillet 2007 (consulté le 19 juin 2018). ↑ a b et c avec AFP, « Barack Obama lève les restrictions de voyage des Américano-Cubains vers Cuba », Le Monde.fr,‎ 13 avril 2009 (lire en ligne). « Cuba-Etats-Unis : un rapprochement historique », sur Europe 1, 17 décembre 2014 (consulté le 19 juin 2018). avec AFP, « Les États-Unis et Cuba rouvrent officiellement leurs ambassades », Le Monde.fr,‎ 20 juillet 2015 (lire en ligne). « Barack Obama à Cuba, une visite historique [Vidéo] », Le Monde.fr,‎ 21 mars 2016 (lire en ligne). Cuba: Washington cible encore le secteur du tourisme avec des restrictions aériennes, AFP, 18 octobre 2019
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