حبابة (جارية)
( Hababa )Hababah (arabe : حبابة ; mort en 724), était un chanteur d'esclaves jarya et poète du Calife Yazid II.
Hababah était une esclave, amenée au harem du calife Yazid II comme concubine. Elle l'a diverti en tant que chanteur et poète. Yazid est devenu tellement amoureux d'elle qu'il a été décrit comme hypnotisé par son chant et sa poésie.
Les chroniques déclarent :
- 'Un jour, alors que Hababa chantait, Yazid éprouva un tel plaisir qu'il éclata : "Je veux m'envoler !"
- Hababa lui a dit : " Commandeur des Croyants, si tu quittes la oumma et nous aussi, qui prendra soin de nous ?"
Elle est morte après s'être étouffée avec des graines de grenade, (selon un autre récit, il s'agissait de raisins jetés sur elle par le calife) en pique-niquant dans un jardin. Yazid a d'abord refusé de l'enterrer et a été tellement affecté par sa mort qu'il a refusé de voir qui que ce soit pendant une semaine. Il négligea ...Lire la suite
Hababah (arabe : حبابة ; mort en 724), était un chanteur d'esclaves jarya et poète du Calife Yazid II.
Hababah était une esclave, amenée au harem du calife Yazid II comme concubine. Elle l'a diverti en tant que chanteur et poète. Yazid est devenu tellement amoureux d'elle qu'il a été décrit comme hypnotisé par son chant et sa poésie.
Les chroniques déclarent :
- 'Un jour, alors que Hababa chantait, Yazid éprouva un tel plaisir qu'il éclata : "Je veux m'envoler !"
- Hababa lui a dit : " Commandeur des Croyants, si tu quittes la oumma et nous aussi, qui prendra soin de nous ?"
Elle est morte après s'être étouffée avec des graines de grenade, (selon un autre récit, il s'agissait de raisins jetés sur elle par le calife) en pique-niquant dans un jardin. Yazid a d'abord refusé de l'enterrer et a été tellement affecté par sa mort qu'il a refusé de voir qui que ce soit pendant une semaine. Il négligea ses devoirs et mourut peu de temps après. Pour ses ennemis, le grand amour de Yazid pour elle et le chagrin de sa mort ont fait que son nom a été discrédité pendant des siècles avant qu'il ne soit réhabilité, et sa négligence des affaires de l'État a fait considérer Hababah comme un ennemi de Dieu.
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