Contexte de Soudan

Le Soudan (prononcé en français : /sudɑ̃/ ; en arabe : السودان as-Sūdān), en forme longue la république du Soudan (جمهورية السودان Jumhūrīyat as-Sūdān), est un pays d'Afrique du Nord-Est.

Le Soudan est bordé par la Libye au nord-ouest, l’Égypte au nord, la mer Rouge à l'est-nord-est, l'Érythrée à l'est, l'Éthiopie à l'est-sud-est, le Soudan du Sud au sud, la République centrafricaine au sud-ouest et le Tchad à l'ouest. Les langues officielles du pays sont l’arabe et l'anglais depuis 2005.

Sa capitale est Khartoum et sa plus grande ville est Omdourman.

Plus à propos Soudan

Informations de base
  • Devise Livre soudanaise
  • Indicatif d'appel +249
  • Domaine Internet .sd
  • Mains voltage 230V/50Hz
  • Democracy index 2.54
Population, Area & Driving side
  • Population 30894000
  • Zone 1886068
  • Côté conduite right
Historique
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    Statue d'un roi nubien (Soudan).

    Dans l'Antiquité, le pays correspondait en grande partie à l'ancienne Nubie (voir l'article détaillé sur l'histoire du Soudan).

    Quelques repères :

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    Statue d'un roi nubien (Soudan).

    Dans l'Antiquité, le pays correspondait en grande partie à l'ancienne Nubie (voir l'article détaillé sur l'histoire du Soudan).

    Quelques repères :

    Royaume de Koush (XXVe siècle – XVIe siècle avant notre ère) Royaume de Méroé (-800 – 350) Nobatie (350c-650c), Makurie (500c – 1285c), Alodie (350-1504), Royaume de Daju (en) (1150c-1450c) Sultanat de Sennar (1504 – 1821), Sultanat du Darfour (1603-1874) Invasion du Soudan par l'Égypte (1820-1824) (en) Histoire du Soudan (1821-1885) (en) Guerre des mahdistes (1881-1899), Soudan mahdiste (1885-1899) Soudan anglo-égyptien (1899-1956)XIXe siècle

    Dans les années 1820, l'Égypte est gouvernée par le pacha Méhémet Ali. L'Égypte étant une province de l'Empire ottoman, il est en théorie vassal du sultan de Constantinople, mais s'est en pratique libéré de la tutelle de celui-ci et mène une politique indépendante d'expansion territoriale.

    Après d'infructueuses tentatives pour conquérir la Palestine et la Syrie, il se lance avec succès à la conquête du Soudan dans les années 1820.

    En 1885 le chef religieux Muhammad ibn Abdallah, s'étant proclamé « le Mahdi » (« l'attendu »)[1], tenta d'unifier les tribus de l'Ouest et du Centre du Soudan contre la domination égyptienne. Il prit la tête d'une révolte religieuse que le gouvernement égyptien s'avéra incapable de réprimer et infligea une défaite écrasante à l'armée envoyée contre lui par Le Caire : commandée par le colonel anglais Hicks, celle-ci commit l'imprudence de s'aventurer dans le désert à la poursuite du Mahdi qui, lorsqu'elle fut bien épuisée et démoralisée, se retourna contre elle et l'anéantit.

    Cette victoire, outre qu'elle laissait l'Égypte presque sans moyen militaire, apporta au Mahdi les moyens qui lui manquaient pour donner à l'insurrection une plus grande ampleur : le ralliement de nouvelles tribus et surtout des milliers de fusils Remington, 5 millions de cartouches et des pièces d'artillerie. Jusque-là cantonnée au désert et à des opérations de guérilla, l'insurrection mahdiste pouvait désormais s'attaquer aux villes et garnisons égyptiennes du Soudan, à commencer par la capitale : Khartoum. Le Khédive d'Égypte demanda l'aide de la Grande-Bretagne, mais le gouvernement de Gladstone refusa d'engager des troupes dans une aventure qui ne le concernait pas. Il consentit tout au plus à mettre à la disposition de l'Égypte le général Gordon avec pour mission d'organiser l'évacuation des garnisons égyptiennes du Soudan, abandonnant le pays au Mahdi.

     
    Guerre des mahdistes.

    Si Gordon connaissait bien le Soudan (dans les années 1870, il en avait été gouverneur général, nommé par le khédive) et s'il était un chrétien convaincu, il ne comprit pas vraiment la signification de la révolte, ni la raison pour laquelle elle mobilisait largement la population. Pour reprendre les remarques d'un des meilleurs observateurs britanniques de l'époque, Wilfred Scawen Blunt[2], il ne se rendit pas compte que tous les gens de bien au Soudan étaient du côté du Mahdi.

    Encerclé à Khartoum, il refusa de l'abandonner et organisa la défense, persuadé que l'opinion publique britannique et en particulier la très influente Ligue contre l'esclavage exercerait sur le gouvernement une pression telle que celui-ci se verrait contraint d'envoyer des troupes à son secours, ce qui fut le cas.

    L'expédition de secours, commandée par Garnet Joseph Wolseley, arriva trop tard et se trouvait encore à quelques jours de marche de Khartoum lorsqu'elle apprit la chute de la ville et la mort de Gordon (janvier 1885). Les instructions qu'avait reçues sir Garnet étaient claires : sa mission était de sauver Gordon, pas de conquérir le Soudan. Il fit donc demi-tour et regagna l'Égypte, ramenant avec lui les dernières garnisons égyptiennes ; le Mahdi restait maître de tout le pays. Ce dernier ne profita guère de sa victoire, il mourut quelques semaines plus tard, peut-être d'une méningite. Dirigé par le khalifa Abdullah, le pouvoir mahdiste survécut jusqu'en 1898 où il fut anéanti à la bataille d'Omdurman par une armée anglo-égyptienne commandée par sir Horatio Herbert Kitchener. Cette bataille fit 11 000 tués du côté soudanais et 48 du côté anglo-égyptien, ce qui en fait un massacre plus qu'une bataille, et personne ne s'interrogea sur le fait que presque aucun des 16 000 Soudanais blessés ne survécut[3]. Kitchener était en route vers Fachoda et sa dramatique confrontation avec l'expédition française du commandant Marchand.

    Le Soudan connait une famine particulièrement meurtrière entre 1889 et 1891, tuant environ un tiers de ses habitants[4].

    XXe siècle

    1916 est l'année de la défaite et de la mort d'Ali Dinar, dernier sultan du Darfour et Dar Massatite en 1921.

    L'indépendance fut proclamée en 1956, mais le gouvernement de Khartoum revint sur les promesses faites aux provinces du Sud de créer un État fédéral, ce qui conduisit à une mutinerie menée par des officiers du Sud, qui fut le début d'une guerre civile de dix-sept ans (1955-1972).

     
    Soudan anglo-égyptien (1899 - 1956).

    Des élections eurent lieu en avril 1965 mais les gouvernements successifs furent incapables de se mettre d'accord sur une constitution permanente ou de résoudre les problèmes de la lutte entre factions, de la stagnation économique et de la dissidence ethnique. Le mécontentement amena un deuxième coup d'État militaire le 25 mai 1969. Son meneur, le colonel Gaafar Muhammad Nimeiri, devint Premier ministre, et le nouveau régime supprima le Parlement et interdit tous les partis politiques.

    Des luttes entre les marxistes et les non-marxistes à l'intérieur de la coalition militaire au pouvoir provoquèrent un nouveau coup d'État en juillet 1971, dirigé par le Parti communiste soudanais. Quelques jours après, des troupes anti-communistes du colonel Nimeiri exécutent le secrétaire général du PC soudanais : l'écrivain Abdel Khaliq Mahjub (en), le dirigant de la Confédération Générale des travailleurs du Soudan, Chafi’Al Cheikh, sont pendus le 28 juillet, et des centaines de militants et de syndicalistes sont exécutés[5].

    En 1972, l'accord d'Addis-Abeba (en) mit fin à la guerre civile Nord-Sud et instaura un certain degré d'autonomie régionale.

    En septembre 1983, le président Nimeiri annonça sa décision d'étendre au droit pénal[6] le domaine du droit musulman, cantonné depuis la colonisation au droit personnel. Bien que le droit pénal soit en théorie uniquement personnel et proportionné.

    Cette décision est l'élément déclencheur d'une guerre civile qui oppose le Gouvernement (GOS) à des groupes armés du Soudan du Sud. Ce conflit s'analyse le plus souvent comme une guerre de religion entre le Nord — islamique — et le Sud — chrétien. Si cette dimension religieuse existe certainement, ce sont plutôt deux cultures, une tribale traditionaliste au sud et une arabo-musulmane au nord, qui s'opposent. On peut aussi y analyser une opposition entre le Centre et la périphérie, expliquant ainsi aussi les moteurs des conflits au Darfour, à l'ouest du pays, et dans le Béjaland, à l'est du pays.

    La proximité avec les États-Unis s’accentue sous l'administration de Ronald Reagan. L’aide américaine passe de 5 millions de dollars en 1979 à 200 millions en 1983, puis à 254 en 1985, essentiellement pour les programmes militaires. Le Soudan devient ainsi le deuxième bénéficiaire de l’aide américaine en Afrique (après l’Égypte). La construction de quatre bases aériennes destinées à accueillir des unités de la Force de déploiement rapide et d’une puissante station d’écoute, près de Port-Soudan, est mise en chantier. En 1984 et 1985; après une période de sécheresse, plusieurs millions de personnes sont menacées par la famine, en particulier dans l’ouest du Soudan. Le régime fait en sorte de cacher la situation à l'international[5].

    En mars 1985, l’annonce de l’augmentation des prix des produits de première nécessité, sur l’injonction du Fonds monétaire international avec lequel le régime était en négociation, provoque de premières manifestations. Le 2 avril, huit syndicats appellent à la mobilisation et à une « grève politique générale jusqu’à la suppression du régime actuel ». Le 3, des manifestations massives secouent Khartoum, mais aussi les principales villes du pays ; la grève paralyse les institutions et l’économie. Un autre coup d'État, mené par le général Souwar ad-Dahab, restaura un gouvernement civil. Cependant la guerre civile faisait de plus en plus de morts et la situation économique continuait à se dégrader[5].

    En 1989, à la suite d'un coup d'État, le général Omar el-Bechir devint chef de l'État, Premier ministre et chef des forces armées. La loi pénale de 1991 institua des peines sévères dans tout le pays, telles que l'amputation et la lapidation. Bien que les États du Sud non musulmans soient officiellement exemptés de ces dispositions, la loi permet cependant une possible application future de la charia dans le Sud.

    La guerre civile a déplacé plus de quatre millions d'habitants du Sud et fait deux millions de morts. Certains ont fui dans des villes du Sud comme Djouba, d'autres ont cheminé vers le nord jusqu'à Khartoum ou ont pris le chemin de pays voisins comme l'Éthiopie, le Kenya, l'Ouganda ou l'Égypte. Ces gens ne pouvaient pas produire de la nourriture ou gagner de l'argent pour se nourrir, et la malnutrition et la famine se sont répandues. Le manque d'investissement dans le Sud a également abouti à ce que les organisations humanitaires internationales appellent une « génération perdue », mal éduquée, sans accès aux soins de base et sans grandes chances de trouver un emploi productif que ce soit dans le Sud ou dans le Nord.

    XXIe siècle Rébellion de 2005

    Les pourparlers de paix entre les rebelles du Sud et le gouvernement ont fait des progrès notables en 2003 et au début de l'année 2004, même si des accrochages se seraient encore produits dans certaines régions méridionales.

    Une nouvelle rébellion dans la province occidentale du Darfour a commencé début 2003. Le gouvernement et les rebelles ont été accusés d'atrocités au cours de cette guerre. En février 2004, le gouvernement a proclamé sa victoire sur la rébellion mais les rebelles disent garder le contrôle des zones rurales et certaines sources indiquent que des combats continuent à de nombreux endroits. Les milices janjawids sont accusées du massacre de plus de cinquante mille personnes, le conflit ayant fait, en trois ans, plus de trois cent mille morts et trois millions de déplacés et réfugiés, selon certaines estimations.

    Accord de paix de 2005

    Le 9 janvier 2005, un accord de paix a été signé à Nairobi entre John Garang de l'APLS et le vice-président Ali Osmane Taha, représentant le gouvernement soudanais. Il met fin à vingt-et-un ans de guerre civile dans l'État, dominé par les musulmans et les miliciens chrétiens de Garang. Cet accord prévoit un régime d'autonomie de six ans au Soudan du Sud, période à l'issue de laquelle un référendum d'autodétermination sera organisé.

    Le 9 juillet 2005, la nouvelle constitution, élaborée grâce aux accords de Nairobi, est appliquée et permet le retour du mouvement de John Garang à Khartoum. Un gouvernement d'union nationale est instauré pour cette période de transition.

    Le 31 juillet 2005, John Garang meurt dans l'accident de l'hélicoptère ougandais qui le transportait, dans le Sud du Soudan. Cela provoque plusieurs jours d'émeutes dans la capitale ainsi qu'à Djouba entre les partisans de Garang et ceux du gouvernement. Les partisans de l'ancien chef rebelle John Garang ne croient en effet pas à la thèse officielle du gouvernement selon laquelle l'hélicoptère a été victime de problèmes techniques. Ils déclenchent des émeutes à Khartoum, provoquant les représailles de militants nordistes. Ces violences font, d'après le bilan du Croissant-Rouge soudanais (en), cent trente morts et plus de trois cent cinquante blessés.

     
    Référendum sur l'indépendance du Soudan du Sud.

    Le référendum d'autodétermination du Soudan du Sud prévu par les accords de paix a eu lieu le 9 janvier 2011[7]. Les votants se sont exprimés en faveur de la sécession à 98,83 %[8]. Le 8 février 2011, Omar el-Béchir a officiellement reconnu ce résultat[9]. Ce nouvel État a accédé à son indépendance dès le 9 juillet 2011[10]. En perdant plus d'un quart de son territoire, le Soudan perd également son « statut » de plus grand État d'Afrique (au profit de l'Algérie) qu'il détenait depuis son indépendance en 1956.

    Selon certains observateurs[11], la sécession du Sud ne manque pas d'alimenter une certaine inquiétude au sein de la population quant à l'avenir du pays. Jusqu'ici, le gouvernement central profitait des ressources pétrolières du Sud (qui assurait 85 % de la production nationale) pour, « acheter » la paix civile avec les différents groupes rebelles qui sévissaient dans le Nord. Avec des revenus en baisse, il lui sera difficile de poursuivre ce type de politique. Ainsi, selon Fouad Hikmat, analyste à l'International Crisis Group : « Dans un an, si le NCP (le Congrès national au pouvoir à Khartoum) ne change pas, n'adopte pas une nouvelle approche plus fondée sur l'intégration que sur la sécurité, le Soudan va affronter de sérieux problèmes ». Cette manne pétrolière permettait également de limiter les conséquences économique de la crise en jugulant l'inflation, garantissant une certaine « paix sociale ».

    Face à ces nombreux défis intérieurs, ces mêmes observateurs craignent que les durs du régime, « débarrassés » du Sud chrétien et animiste, n'en profitent pour se radicaliser en accélérant l'islamisation du reste du pays, comme le président Bashir l'avait laissé entrevoir[12], d'autant plus que les effectifs des communautés chrétiennes se trouvant dans le Nord se sont largement réduits. En effet, l'essentiel de leurs membres, originaires du Sud, ont regagné leur région d'origine en prévision de son indépendance[13].

    Le régime d'Omar el-Bechir applique en 2018 un plan d'austérité du Fonds monétaire international (FMI), transférant certains secteurs des importations au secteur privé. En conséquence, le prix du pain est doublé et celui de l’essence augmente de 30 %. L’inflation atteint les 40 %. Des mouvements étudiants et le Parti communiste soudanais organisent des manifestations pour contester cette politique. Omar el-Bechir réagit en faisant arrêter le secrétaire général du Parti communiste et deux autres dirigeants du parti, et par la fermeture de six journaux[14].

    Révolution soudanaise de 2019

    À partir de décembre 2018, un vaste mouvement de protestation contre le régime se forme dans les villes de l’extrême nord du pays, en particulier autour d'Atbara, agglomération ouvrière et fief du syndicalisme soudanais. Les manifestants réclament initialement de meilleures conditions de vie (plus de 20 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté), puis, alors que la répression s’accentue, la démission du président[15].

    Omar El-Béchir est destitué par l'armée et remplacé par un conseil militaire de transition, composé aussi de civils[16], le 11 avril 2019[17]. Le 21 août, le Conseil militaire de transition devient le Conseil de souveraineté. Il maintient les président et vice-président sortants en place mais dispose de membres civils[18]. Abdallah Hamdok, ancien économiste à l'ONU, est nommé premier ministre à la tête d'un gouvernement de transition[19].

    Une tentative de coup d'État a lieu le 21 septembre 2021[20].

    Tentative de coup d'État de 2023

    À partir du 15 avril 2023, les Forces de soutien rapide, dirigées par Mohamed Hamdan Dogolo, lancent des attaques contre des sites gouvernementaux dans plusieurs villes, notamment Khartoum.

    Film Khartoum. Gordon at Khartoum. Being a personnal narrative of events, Stephen Swift & Co. Londres, 1911. Sven Lindqvist, Exterminez toutes ces brutes !, Paris, Le Serpent à Plumes, 1998. Mike Davis, « Les famines coloniales, génocide oublié », sur Le Monde diplomatique, 1er avril 2003 ↑ a b et c « Le Soudan après la dictature », 1er octobre 1985 Hervé Bleuchot, « L'étude du droit musulman : jalons pour une convergence (entre l'islamologie juridique et l'anthropologie juridique) », Droit et Société, no 15,‎ 1990, p. 175-187 (DOI 10.3406/dreso.1990.1075, lire en ligne, consulté le 22 septembre 2022). Cf. Jacques Leclerq, article « Soudan », dans L'aménagement linguistique dans le monde, Québec, TLFQ, Université Laval, 28 avril 2010, article en ligne. « Results for the Referendum of Southern Sudan - Southern Sudan Referendum 2011 », sur southernsudan2011.com (consulté le 12 novembre 2019) « L'indépendance du sud entérinée », 20 minutes. « À la Une : Sud-Soudan, c’est le jour J. Un nouvel État est né », RFI. « Anxiété à Khartoum à la veille de la sécession sudiste », Le Nouvel Observateur, 6 juillet 2011. « El-Bechir annonce qu'en cas de sécession du Sud, la charia sera renforcée au Nord », France 24, 24 décembre 2010. « Les chrétiens de Khartoum craignent de tomber dans l'oubli », La Croix, 1er avril 2011. « Afrique. Au Soudan, à défaut de pain, la matraque », 19 janvier 2018 (consulté le 8 mai 2019) « Les espoirs d’une troisième révolution au Soudan », sur orientxxi.info (consulté le 8 mai 2019) « Depuis 2019, l’Afrique plombée par une succession de coups d’Etat militaires », sur Libération, 25 octobre 2021 AFP, « Soudan: l'armée renverse Béchir et annonce une transition militaire de deux ans », Le Point,‎ 12 avril 2019 (lire en ligne) (en) « Head of Sudan's now-defunct military council sworn in to head new... », Reuters,‎ 21 août 2019 (lire en ligne, consulté le 21 août 2019) « Soudan : Abdallah Hamdok, ancien économiste à l’ONU, devient premier ministre », Le Monde,‎ 22 août 2019 (lire en ligne) « Soudan. Après une tentative de coup d’État manquée, l’ordre est rétabli selon les autorités », AFP et Ouest-France, 21 septembre 2021
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