Schwäbisch Hall

Schwäbisch Hall est une ville du land de Bade-Wurtemberg en Allemagne. Elle est la préfecture et la plus grande ville de l'arrondissement de Schwäbisch Hall (188 694 habitants au ), qui fait partie de la région Heilbronn-Franconie. L'arrondissement actuel est issu du regroupement des anciens arrondissements Crailsheim, Gaildorf, Gerabronn et Schwäbisch Hall entré en vigueur depuis le . Il est situé au sud de la plaine de Hohenlohe et à l'est ou nord-est des monts de Souabe et Franconie, petit massif du keuper dont une partie appartient à l'arrondissement de Schwäbisch Hall jusque la commune de Mainhardt. L'arrondissement de Schwäbisch Hall fait partie des régions à faible densité de population en Alle...Lire la suite

Schwäbisch Hall est une ville du land de Bade-Wurtemberg en Allemagne. Elle est la préfecture et la plus grande ville de l'arrondissement de Schwäbisch Hall (188 694 habitants au ), qui fait partie de la région Heilbronn-Franconie. L'arrondissement actuel est issu du regroupement des anciens arrondissements Crailsheim, Gaildorf, Gerabronn et Schwäbisch Hall entré en vigueur depuis le . Il est situé au sud de la plaine de Hohenlohe et à l'est ou nord-est des monts de Souabe et Franconie, petit massif du keuper dont une partie appartient à l'arrondissement de Schwäbisch Hall jusque la commune de Mainhardt. L'arrondissement de Schwäbisch Hall fait partie des régions à faible densité de population en Allemagne,.

Des événements historiques issus de la désintégration du Saint-Empire romain germanique en 1806 ont conduit au rattachement de cette région franconienne, dite du sud-est, au royaume de Wurtemberg. Linguistiquement et culturellement néanmoins, les populations de Hall et du pays de Hohenlohe ne sont pas considérées comme des locuteurs souabes contrairement à ce que l'on pourrait penser avec le terme "Schwäbisch" (Souabe).

Ses habitants sont appelés les Haller en allemand et leur langue régionale est le Hällisch-Fränkisch, sous-groupe local du francique oriental, aire de Hohenlohe, servant de zone de transition dans le continuum dialectal entre le souabe et le franconien au sein de la famille de l'allemand supérieur. La Franconie historique a sa frontière au milieu du massif de la forêt de Souabe-Franconie avec le petit cours d'eau de la Rot, affluent du Kocher qui traverse la ville de Schwäbisch Hall.

Appartenances historiques

Drapeau du Saint-Empire  Saint-Empire (Ville libre) 1280-1802
Drapeau du duché de Wurtemberg  Duché de Wurtemberg 1802-1803
Drapeau de l'Électorat de Wurtemberg  Électorat de Wurtemberg 1803–1806
Drapeau du Royaume de Wurtemberg  Royaume de Wurtemberg 1806–1871
Drapeau de l'Empire allemand  Empire allemand 1871-1918
Drapeau de la république de Weimar  République de Weimar 1918–1933
Drapeau de l'Allemagne nazie  Reich allemand 1933–1945
  Allemagne occupée 1945–1949
Allemagne de l'Ouest  Allemagne de l'Ouest 1949–1990
Drapeau de l'Allemagne  Allemagne 1990-présent

 Centre ville de Schwaebisch Hall Conradin de Hohenstaufen, roi et poète dans le codex Manesse, fol. 7r, comme son échanson Conrad de Limpurg. Haie forestière défensive de Schwäbisch Hall[1].Des origines à 1802

Schwäbisch Hall devait, dans des siècles passés, sa prospérité à une source salée, exploitée dès 600 avant l'ère chrétienne, et à laquelle elle doit son nom d'origine « Haal in Schwaben » (Hall en Souabe). De 1280 à 1803, elle eut le statut de ville libre d'Empire. Pendant cette première période, les événements suivants sont à retenir :

1156 : L'église Saint-Michel est consacrée le 10 octobre 1156[2] par Gebhard von Henneberg, évêque de Wurtzbourg. Schwäbisch Hall est cité dans l'acte, mais pas encore comme ville. Néanmoins, C'est probablement sous l'empereur Frédéric Ier (Barberousse) qu'on commença à y frapper des monnaies appelées Heller (Pfennigs de Hall). Ces pièces de tôle d'argent peu épaisse étaient de faible valeur et connaissaient une grande diffusion par tout l'Empire et au-delà. Malheureusement, l'atelier monétaire à l'origine du pfennig hallois[2], est victime dès le début du XIVe siècle d'une contrefaçon très répandue ; le heller devient synonyme d'une pièce de peu de valeur[2].

La consécration de l'église est accompagnée en annexe de l'acte officiel par la création d'un marché annuel à la Saint-Jacques. Il se tenait sept jours avant et sept jours après la date officielle. De plus, les marchands disposaient de quatorze jours supplémentaires avant et après le marché annuel pour bénéficier de la protection des troupes impériales contre le brigandage sur les routes du territoire communal[2].

1204 : première mention de la ville de Schwäbisch Hall[2]. Depuis le milieu du XIe siècle, les premiers châteaux sur les sommets et rochers sont érigés comme le Combourg, Kirchberg ou Lobenhausen, Vellberg, Bielriet, Burleswagen et Oberrot. Les premiers territoires seigneuriaux se créent autour de ces petits centres de décision percevant taxes et rendant justice[3]. Au XIIIe siècle, les comtes échansons von Schüpf, originaires de Lauda-Königshofen dans le Taubergrund, s’installent dans le château de Oberlimpurg. Les Limpurg et la noblesse urbaine de Schwäbisch Hall sont de même rang social puisqu’ils sont issus de la petite noblesse qui fournit les ministériels aux souverains staufiens[3]. Les comtes de Limpurg jouèrent un rôle majeur dans l’entourage de l’empereur Frédéric Barberousse et le roi de Germanie Heinrich VI, son fils et successeur sur le trône impérial.Forts de cette ascension sociale dans les sphères de décision, les Limpurg tentèrent de s’emparer de la ville libre d’Empire Schwäbisch Hall à partir de 1254. Une représentation de l’échanson Conrad de Limpurg dans le codex Manesse le montre en train de partir à une expédition[3]. Une dame lui tend son heaume. Fils de Walter Ier, Conrad était dans l’entourage du dernier empereur staufien Conradin comme l’attestent les notices des Regesta Imperii de 1267 et 1268 à Vérone et Pise. À la fin de sa vie, l’échanson met fin à sa vie de voyage permanent suivant la cour itinérante de l’empereur et s’installe dans le château de Bielriet où il meurt environ sept ans plus tard vers 1287. Conrad de Limpurg était également Minnesang, six de ses poésies courtoises chantées ont été transmises par le codex Manesse[3]. La maison noble de Hohenlohe s’est installée au nord de Schwäbisch Hall au début du XIIIe siècle. Ils sont comme les rivaux originaires de la vallée du Tauber. La rivalité entre les Limpurg et les Hohenlohe atteint son paroxysme avec le conflit entre le l’empereur Frédéric II du Saint-Empire et son fils Henri II de Souabe car les premiers choisissent le camp du fils rebelle tandis que les Hohenlohe se rallient au père. C’est le père qui l’emporte dans ce conflit familial. Du coup, les Limpurg perdent également leur prétention sur le château de Langenbourg au profit de leurs rivaux Hohenlohe[3]. Après plusieurs conflits successifs où la ville libre put repousser l’assaillant, l’arbitrage de Vienne de 1280 met fin à la querelle permanente. Depuis cet arbitrage, trois seigneurs principaux se partagent pour des siècles le territoire de transition entre la Souabe et la Franconie : les Limpurg, les Hohenlohe et la ville libre de Hall[3]. 1280 : l'« arbitrage de Vienne » prononcé par Rodolphe 1er de Habsbourg met fin aux conflits d'intérêts et aux querelles de pouvoir entre les comtes de Limpurg, les Hohenstaufen et la ville qui devient une Ville libre d'Empire, donc avec le statut d'immédiateté impériale. Les couches dominantes de la ville à cette époque étaient représentées par la noblesse urbaine issue des ministériels staufiens et les bourgeois roturiers qui ont acquis peu à peu leur place dans la nouvelle organisation urbaine. La cohésion est assurée par un serment communautaire, ce qui a exclu la communauté juive attestée à partir de 1241 puisqu'elle ne peut pas prêter serment en général et a fortiori sur la bible. 1340 : l'empereur Louis IV le Bavarois fait apporter quelques modifications mineures à la constitution urbaine de Schwäbisch Hall qui perdurera jusque 1802. Un magistrat ou conseil dirigé par un Stättmeister, un doyen, douze nobles, six bourgeois de moyenne condition et huit artisans gère la ville libre. 1509-1512 : on nomme "Seconde discorde" la fin de la prédominance des nobles dans la gestion des affaires de la ville. Elle est désormais gouvernée et dirigée par une bourgeoisie de corporation[4] composée de « membres de lignages liés par la solidarité communale[4] ». Ce sont des bourgeois de plus en plus éduqués, possédant une formation universitaire. Plusieurs familles deviennent des petites dynasties locales qui se transmettent les offices et charges de manière quasi héréditaire. Le droit urbain prévaut dans la ville libre. 1522 : le réformateur Johan Brentius trouve refuge à Schwäbisch Hall . Très vite, il s'impose comme le prédicateur de la ville et gagne la ville à la Réforme luthérienne. En 1527, il rédige le nouveau catéchisme pour la commune, mais aussi le nouveau règlement de l'église luthérienne de Wurtemberg. Ses écrits sont des références dans le monde protestant. Il est coauteur de la confession d'Augsbourg avec Philippe Mélanchthon[5]. 1610 : Schwäbisch Hall devient membre de l'Union évangélique, ce qui engage des frais conséquents et place les Hallois dans le camp adverse des puissants voisins de la Bavière et de la principauté épiscopale de Wurtzbourg[6], membres dirigeants de la Ligue catholique. Le 11 février 1610, le roi de France Henri IV s'engage par le traité de Schwäbisch Hall à soutenir les princes de l'Union Évangélique[7]. 1618 - 1648 : la ville impériale connaît dès les débuts les méfaits de la guerre de Trente Ans. C'est le territoire hallois hors fortifications qui est surtout touché malgré l'aide militaire du Wurtemberg[6]. Les catholiques pillent et occupent Vellberg et prennent quartier dans les campagnes halloises. L'évêché de Wurtzbourg profite de la situation pour recatholiser certaines paroisses, ce qui réussira durablement après la guerre de religion pour les villages de Tullau, Hessental et Tüngental restés sur le territoire souverain et protestant de la ville impériale halloise après les conflits[6]. Schwäbisch Hall a perdu 20 % de sa population pendant la guerre de Trente Ans[8] à cause de la guerre, mais aussi de la famine et des épidémies meurtrières liées aux deux causes précédentes.Les Hospitaliers

En 1228, l'universitas civium (collège des citoyens) atteste la fondation d'un hôpital par le concitoyen Sivridus et son épouse Agatha, restés sans enfant. Ils ont décidé de consacrer leurs biens et leur temps aux malades[2]. En 1249, l'hôpital est confié aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, lesquels déclarent ne vouloir soigner que maximum 20 malades. Ils ne prennent pas en charge les personnes atteintes d'une infirmité ou d'une maladie chronique[2]. La ville reprend la direction de l'hôpital en 1317[9]. Du passage des Hospitaliers, il reste la chapelle du couvent qui abrite aujourd'hui le musée gratuit[10] consacré à la partie médiévale de la collection Würth.

Haie forestière défensive du territoire hallois (XVe au XVIIIe siècle)

Longtemps restée dans l’oubli et redécouverte ces dernières années[N 1] grâce à de nombreuses activités associatives et communales[N 2], des reportages télévisés ou sur internet avec des images de synthèse[11], des articles de presse[12] ou bien encore par des conférences adressées au grand public, la ceinture forestière frontalière, nommée Haller Landhege en allemand, entourait l’ensemble du territoire de la ville libre de Schwäbisch Hall à des fins de protection, mais aussi pour marquer sa souveraineté sur le terrain de manière visible et physique. Elle avait une longueur d’environ 200 km[13]. D’autres haies défensives existaient dans l’empire comme celle de la ville libre d'Empire voisine, Rothenburg ob der Tauber[14]. Pour Rothenbourg comme pour Schwäbisch Hall, il n’existe aucun acte officiel ordonnant ou mentionnant le début de l’aménagement d’une haie défensive[14]. Un acte d’un diplomate hallois daté de 1568[15] relate que le roi des Romains Robert Ier aurait autorisé le maire et le magistrat de la ville « à construire autour de leur ville et tout le territoire une ligne défensive avec une forte haie forestière, des portiques, des tours, des fossés ». L’acte cité par ce diplomate serait de 1401, mais il n’a pas été retrouvé[14]. Vu la circonférence de la haie forestière, les travaux ont probablement duré jusqu’à la moitié du XVIe siècle pour arriver à obtenir une haie continue, impénétrable et stable. En 1541, l’empereur Charles Quint autorise la ville libre impériale « à terminer, réaliser et consolider la ligne défensive qui, à maints endroits, est encore ouverte et pas encore fermée[14] ».

Les haies forestières faisant fonction de frontières territoriales étaient très répandues en Europe centrale, y compris sur des vastes étendues, comme avec la Preseka de Silésie (en) ou Hag entourant le territoire silésien en Pologne ou le Gyepű (en) en Hongrie[16]. On en trouvait également dans la Thiérache en France[16]. Une carte authentique de la haie défensive halloise du XVIe siècle est conservée aux archives régionales de Bade-Wurtemberg[17]. Elle montre l’emplacement des tours de guet, de la haie et des rivières, des portiques et portes sur toute la circonférence de la frontière végétale.

La ceinture forestière composée d’abattis, de fossés et de passages obligés[14] était parfois gardée par des fortins[18] en bois ou pierre aux endroits stratégiques et représentatifs. Elle intègre les rivières et ruisseaux comme frontière naturelle[14]. En taillant et entretenant les arbres de telle sorte qu’ils poussent plutôt en largeur et bien resserrés, les ronces et les buissons épineux pouvaient pousser dans les petits intervalles restants et engendrer des haies semblables à des murs[19] difficilement franchissables sans provoquer de dégâts aux chevaux ou aux hommes qui restent coincés dans l’enchevêtrement de branchages et d’épines[14]. Au cas où une personne arrive à passer le premier abattis, il en existe un second douze mètres après le premier, ce qui permet aux défenseurs d’agir pendant que l’intrus tente de se démêler de la première, puis de la deuxième haie. La haie est double entre les deux bornes des États concernés : deux talus de 200 cm se font face à une distance de 12 m. Entre la borne et le talus, il y a un fossé de 200 cm et un ruban de buissons épineux d’une largeur de 100 cm. La largeur totale de la haie forestière de Hall entre les deux bornes territoriales s’élève à 22 m. Il y avait trois possibilités pour traverser la haie forestière :

Le portique simple (Falle) a une hauteur de 3,5 m et une largeur de 4,5 m ; Les portes fermées (Riegel) avec bâtiment annexe pour les gardes ; Les trouées (Schlupf) sont volontairement réalisées dans la haie pour que les paysans puissent se rendre dans leurs champs situés de l’autre côté. Mais elles furent aussi utilisées par les brigands de la forêt de Mainhardt au climat rude. Aujourd'hui, dans le même esprit de redécouverte des faits historiques marquants de la région, la commune de Mainhardt organise des spectacles en faisant intervenir la population locale ou des pièces de théâtre mettant en scène le destin des bandits obligés de voler pour survivre dans un massif montagneux peu hospitalier[12].De 1802 à aujourd'hui

En 1803, avec l'Acte de Médiation octroyé à l'Empire par Napoléon Bonaparte, Schwäbisch Hall perd sa relative indépendance et passe au nouveau royaume de Wurtemberg. Depuis lors et jusqu'en 1936, la ville s'appelle simplement "Hall".

Entre février et avril 1945, 7e armée américaine et la 1re armée française progresseront après la libération de l'Alsace vers Berchtesgaden en passant par le Bade et le Wurtemberg. Les bombardements sont relativement limités à Schwäbisch Hall. En février, les Américains bombardent et détruisent la gare et le quartier-gare ; ils endommagent également l'annexe Unterlimpurg. Le 16 avril 1945, des bombes incendiaires américaines détruisent complètement l'intérieur de l'hôtel de ville baroque. C'est un commando spécial de la Wehrmacht qui dynamitent les ponts de la ville le 17 avril 1945. Il n'y a pas de résistance démesurée dans la ville où les drapeaux blancs sont hissés partout dès le 16 avril 1945. Le 12e RCA, une unité de la 2e division blindée française est passé par Schwäbisch Hall avant de poursuivre vers la Bavière. L'escadron chars du régiment était parti en train de Charente le 24 avril et était arrivé dans la Forêt de Mainhardt le 30 avril 1945 à Großerlach. C'est là que le régiment s'est regroupé.

Cité historique (maison à colombages, ponts en bois couverts), elle est aussi connue pour les représentations données sur les marches de l'église St-Michaël (théâtre classique, musicals), les "Freilichtspiele Schwäbisch Hall"[20].

Aujourd'hui, Schwäbisch Hall abrite le siège social de la caisse d'épargne-logement la plus importante d'Allemagne et d'Europe (Bausparkasse Schwäbisch Hall), rendue célèbre par sa mascotte dans la publicité, un renard. De ce fait, de nombreux Allemands ont déjà entendu le nom de Schwäbisch Hall sans pouvoir identifier la ville qui a donné son nom à la marque. Tout le monde connaît aussi le slogan devenu célèbre sur tout le territoire « Auf diese Steine können Sie bauen » (Vous pouvez bâtir sur ces pierres)[21].

Carte manuscrite des archives de Stuttgart N 11 No 86 ↑ a b c d e f et g (de) Andreas Maisch et al., Hall 1156 : Die staufische Stadt, Schwäbisch Hall, Ulrike Marski, 2007, p. 6-12. ↑ a b c d e et f Susanne Arnold, Albrecht Bedal, Hertha Beutter, Armin Panter, Andreas Maisch et Daniel Stihler (ill. Albrecht Bedal, Stadtarchiv Schwäbisch Hall, Hauptstaatsarchiv Stuttgart, Staatsarchiv Ludwig, Projet associant lr Hällisch-Fränkisches Museum, les archives municipales de Schwäbisch Hall, l’atelier de recherches historiques der Geschichts-Werkstatt, Fondation de soutien des archives municipales et cantonales de Schwäbisch Hall), Hall 1156 – die staufische Stadt, Ulrike Marski, 2007. ↑ a et b Jean-Pierre Cuvillier, L'Allemagne médiévale. Naissance d'un état VIIIe et XIIIe siècles, vol. 2, Payot, 1979, 447 p., p. 347. (de) Joachim Schäfer, « Johannes Brenz », Ökumenisches Heiligenlexikon, Leipzig,‎ 2003 (ISBN 3000129979). ↑ a b et c Andreas Maisch, « Schwäbisch Hall », Württembergische Kirchengeschichte,‎ 2016 (lire en ligne, consulté le 4 avril 2016). Antoine Charles Hennequin de Villermont, Tilly, ou La guerre de trente ans de 1618 à 1632vo, vol. 1, H. Casterman, 1860 (lire en ligne). (de) Andreas Maisch et Daniel Stihler, Schwäbisch Hall. : Geschichte einer Stadt, Künzelsau, Swiridoff, 2006. « Annalen van de Belgische Vereniging voor Hospitaal-Geschiedenis », Société belge d'histoire des hôpitaux, vol. 9,‎ 1971, p. 54. Alte Meister in der Sammlung Würth. Eberhard Mann, « Die Haller Landhege - eine Reise in die Vergangenheit », 2014. ↑ a et b (de) Jochen Korte, « Räuber brechen durch die Hecke : Hardy Mann erläutert Mainhardter Gemeinderat den Stand zur Haller Landhege », Hohenlohes Tagblatt,‎ 20 septembre 2014 (lire en ligne, consulté le 3 avril 2016). (Haller Tagblatt 2014). ↑ a b c d e f et g (de) Barbara Scholkmann, « Die Befestigung der mittelalterlichen Stadt », Städteforschung: Darstellungen, Köln Weimar, Böhlau Verlag, a, vol. 45,‎ 1997, p. 114-115 (ISBN 3412067970 et 9783412067977, lire en ligne, consulté le 3 avril 2016). Archives centrales de Stuttgart, H 14, tome 127, f°76r. ↑ a et b Charles Higounet, « Les grandes haies forestières de l'Europe médiévale », Revue du Nord, t. 62, no 244,‎ janvier-mars 1980, p. 213-217 (DOI 10.3406/rnord.1980.3675, www.persee.fr/doc/rnord_0035-2624_1980_num_62_244_3675, consulté le 3 avril 2016). (de) Landesarchiv Baden-Württemberg, Abt. Hauptstaatsarchiv Stuttgart, Karten, Pläne und Zeichnungen, Handschriftliche Karten Neuwürttemberg (bis 1806) : In Nordwürttemberg, Reichsstadt Hall, 2016 (présentation en ligne). (Eberhard Mann 2014, p. vidéo). (Higounet 1980, p. 213-214). Site officiel : http://www.freilichtspiele-hall.de/de/ http://www.presseanzeiger.de/pa_bilder/247768-2_org.jpg Le renard de la Bausparkasse sur le site de Presseanzeiger.de


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