Contexte de Sardaigne

La Sardaigne (italien : Sardegna, /sarˈdeɲɲa/; sarde : Sardigna, /Lire la suite

La Sardaigne (italien : Sardegna, /sarˈdeɲɲa/; sarde : Sardigna, /saɾˈdiɲɲa/) est une île de la mer Méditerranée et une région italienne, qui se trouve à l'ouest de l'Italie continentale, au sud de la Corse. Son chef-lieu est la ville de Cagliari.

La Sardaigne est par sa superficie, la seconde île de la mer Méditerranée et une région autonome à statut spécial d'Italie dont la dénomination officielle est « région autonome de la Sardaigne » (en italien Regione Autonoma della Sardegna, en sarde Regione Autònoma de Sardigna). Son statut spécial, inscrit dans la constitution de 1948, garantit l'autonomie administrative des institutions locales et la protection de ses particularités ethnolinguistiques et culturelles.

La Sardaigne, séparée de la Corse par les Bouches de Bonifacio, est située au milieu de la mer Méditerranée occidentale : cette position centrale a favorisé depuis l'Antiquité les rapports commerciaux et culturels comme les intérêts économiques, militaires et territoriaux, puis les particularités d'une destination touristique réputée.

À l'époque moderne, en découvrant la randonnée en Sardaigne, d'intérêt panoramique, entre mer et sommets, comme dans d'autres îles de Méditerranée, de nombreux écrivains ont exalté la beauté de la Sardaigne, qui conserve encore, malgré l'extension du tourisme en Sardaigne sur le littoral, un paysage protégé et un patrimoine important, parmi lequel les vestiges de la culture nuragique.

Plus à propos Sardaigne

Population, Area & Driving side
  • Population 1639591
  • Zone 23949
Historique
  • Les premiers vestiges
    Bas-relief représentant des têtes de taureaux dans la nécropole de Su Crucifissu Mannu près de Porto Torres en Sardaigne datant du IVe millénaire av. J.-C. Ces représentations abstraites de taureaux sont retrouvées en grand nombre en Italie.Lire la suite
    Les premiers vestiges
    Bas-relief représentant des têtes de taureaux dans la nécropole de Su Crucifissu Mannu près de Porto Torres en Sardaigne datant du IVe millénaire av. J.-C. Ces représentations abstraites de taureaux sont retrouvées en grand nombre en Italie. 
    Bas-relief représentant des têtes de taureaux dans la nécropole de Su Crucifissu Mannu près de Porto Torres en Sardaigne datant du IVe millénaire av. J.-C. Ces représentations abstraites de taureaux sont retrouvées en grand nombre en Italie.
     
    Tombe des géants d'Osono en Sardaigne en forme de tête de taureau du IIe millénaire av. J.-C. 
    Tombe des géants d'Osono en Sardaigne en forme de tête de taureau du IIe millénaire av. J.-C.

    C'est sans doute au paléolithique inférieur (500 000 ans av. J.-C.) que remontent les premiers vestiges certains de la fréquentation de l'île par le genre Homo. Les dates du premier peuplement humain varient suivant les sources[1]. L'espèce sapiens s'y installe de manière stable bien plus tard, au néolithique inférieur (6000 av. J.-C.).

    Chronologie av. J.-C.

    La première civilisation sarde ayant une physionomie et des caractères bien définis et autochtones est la civilisation dite de "Bonuighinu". Elle s'installe au cours du IVe millénaire av. J.-C. pratique l'agriculture, se regroupe en villages, et est en contact étroit avec la Corse, l'Italie et le Sud de la France. Des céramiques et obsidiennes en sont la trace archéologique.

    À partir du XXIIIe siècle av. J.-C., la culture campaniforme se diffuse durant trois siècles environ de la péninsule Ibérique à la Vistule (Cracovie) et jusqu'aux îles Britanniques. On trouve quelques traces de la culture campaniforme sur les côtes de Sardaigne, de Sicile et du Maroc.

    Les premiers Nuraghes

    Apparaît ensuite la population plus célèbre des Nuraghes, de la culture nuragique[2], qui se développe à l'âge du bronze ancien (1500 av. J.-C.) et qui décline progressivement à la fin de l'âge du fer (500 av. J.-C.) pour ne disparaître complètement qu'avec l'occupation romaine.

    La péninsule du Sinis, près de Cabras, abrite des fragments de sépultures et statues datant de l'âge du Fer (950-730 av. J.-C.)[3],[4].

    La culture de Bonnanaro marque le tout début de l’âge nuragique entre -1800 et -1600, résultant de l'évolution finale de la culture campaniforme ainsi que d'influences de la péninsule italienne (culture de Polada).

    La culture nuragique a ainsi été nommée à cause de son architecture la plus typique : le nuraghe, construction en forme de tour (tronc de cône) élevée à l'aide de gros blocs de pierre équarris et travaillés, qui prend une forme plus articulée et complexe lors de la période la plus resplendissante de cette civilisation, en plein âge du fer.

     
    La tombe des géants de Sa Domu 'e S'Orku, Siddi.
    Photographie du Nuraghe Loelle 
    Nuraghe Loelle.

    Il existe d'autres constructions typiques de l'âge pré-nuragique et intermédiaire : les domus de janas (traduction : les maisons des fées) creusées dans le granit et servant à inhumer les morts, les tombes des géants, très fréquentes à l'intérieur de l'île, et de dimensions cyclopéennes. Le mégalithisme (avec des menhirs notamment) est une caractéristique prénuragique[5].

    Photographie du village nuragique à Serra Orrios 
    Village nuragique à Serra Orrios.

    Contemporaines de la fin de l'époque nuragique et de sa civilisation (entre 900 av. J.-C. et 535 av. J.-C.), lors de l'âge du fer, les petits bronzes, représentaient souvent des guerriers en armes et animaux, mais aussi des orants par exemple. De la même époque, il existe aussi des sculptures de pierre, de petite dimension mais aussi de grande taille comme les Géants de Mont-Prama.

    Périodes puniques, romaine et vandale

    Les riches ressources minières de l'île attirent l'attention et l'intérêt commercial des populations de la Méditerranée orientale, comme les Mycéniens et les Chypriotes, mais ce sont les Phéniciens qui, à partir du IXe et du VIIIe siècle av. J.-C. constituent les premières colonies stables, occupant des sites le long de la côte, facilement accessibles, favorables aux échanges et au commerce[6]. La Sardaigne qui appartenait à l'Empire carthaginois (son occupation va de 535 à 239 av. J.-C.)[7],[8] privilégie, outre la production des ressources minières, celle du froment et du bois (l'île était quasiment recouverte de forêts). Cette exploitation perdure également avec la conquête romaine (239 av. J.-C. 476 apr. J.-C.). La Sardaigne fut rattachée à Rome à la suite de la première guerre punique et, en 227 av. J.-C., est constituée la province romaine de Corse-Sardaigne[9].

    Rome, pour affirmer sa domination sur les zones internes et notamment la Barbaria (devenue l'actuelle Barbagia) où les habitants parlant une langue pré-latine y sont considérés comme plus fiers et courageux que sur les côtes, s'impose par une administration forte et bien organisée et son efficacité est assurée principalement par un réseau routier très ramifié dont quelques morceaux originaux ont survécu çà et là, repris en grande partie par le tracé du réseau routier moderne[10].

    Photographie de l'amphithéâtre romain de Cagliari 
    Amphithéâtre romain de Cagliari.

    L'affaiblissement de l'Empire romain se propage jusqu'à l'île et a pour conséquence l'abandon progressif des terres agricoles et des côtes, ainsi qu'une perte de dynamisme notable de la démographie.

    Abandonnée à elle-même et sans défense, la Sardaigne est occupée et subit les razzias durant quelque 80 ans (vers 460-530 apr. J.-C.) par les Vandales d'Afrique qui, défaits sous Justinien, laissent l'île sous la domination de Byzance.

    Occupation musulmane en Sardaigne

    Quand, au IXe siècle, les Arabes achèvent la conquête de la Méditerranée, du Nord de l'Afrique, de l'Espagne et de la Sicile, les côtes sardes sont soumises à leurs attaques incessantes et à leurs razzias[11].

    En 1014, une alliance de Gênes et de Pise provoque la défaite de Museto, un chef de guerre arabe qui s'était emparé de Cagliari.

    Le désintérêt et le vide de pouvoir qui s'ensuivent de la part de la lointaine Byzance poussent l'île à gérer elle-même son sort : ainsi, elle s'organise administrativement et militairement en quatre judicats : ceux de l'Arborée, de Calaris (Cagliari), de la Gallura et du Logudoro (Torres), royaumes souverains et indépendants les uns des autres[10].

    La domination pisane
     
    Tour élevée par Mariano de Serra à Oristano, gravure de Gustavo Strafforello, La patria, geografia dell'Italia, 1895.

    La Sardaigne passe sous domination pisane, du XIe au XIVe siècle, en se transformant lentement en protectorat. L'évolution se concentre surtout entre la deuxième moitié du XIIe siècle et les premières décennies du XIVe siècle[12]. Ainsi, dès 1258, le Judicat de Cagliari disparaît, pris par les Pisans, tandis que sept ans plus tard en 1265, Mariano de Serra est « l’unique Sarde investi d’une charge de gouvernement dans une île tombée entièrement au pouvoir d’étrangers »[13]. Le passage sous domination pisane s'effectue surtout via l'implication personnelle et matrimoniale d'une oligarchie de type aristocratique[12], transplantée de Pise[12], qui contrôle les principaux rôles de la structure politique sarde l'époque, celle de ces consuls[12].

    Le système des consuls est chapeauté par la charge de podestat, tout d'abord en permanence confiée à l'un ou l'autre membre des deux principales familles, les Donoratico et les Visconti (it), et plus tard confiée à des étrangers[12]. Cependant, la politique des papes a souvent interféré en choisissant d'opposer toujours les Génois aux Pisans, d’appuyer toujours la partie la plus faible, contre la partie la plus forte »[14]. Les familles des deux cités se disputent alors soit les territoires, soit les places de juge des différents Judicats.

    Les gouvernements locaux, appelés judicats, plus proches de la population sarde[12], n'en sont pas moins associés à cette domination d'une petite élite de nobles, via des traités d'alliance militaires permettant de leur porter assistance et des conventions commerciales assorties d'honneurs et distinctions[12]. Des capitales judicales installées dans les principales cités sardes sont dotées d'un palais du juge[12], véritable centre du pouvoir[12], systme décrit par les historiens comme celui des rois juges. Les deux judicats où la présence pisane s'affirme le plus tôt et la plus fortement, sont Cagliari[12] et Arborea[12].

    De nombreux mariages de Pisans dans les familles régnantes sardes, en particulier avec les héritières des trônes judicaux[12], témoignent des liens étroits et prolongés entre Pise et la Sardaigne au cours de cette partie du Moyen Âge[12].

    Avec des soubresauts, les judicats survivent jusqu'à la fin du XIIIe siècle, lorsqu'ils deviennent territoires contrôlés ou alliés avec les républiques maritimes, leurs familles changées en seigneuries du continent italien de Pise et de Gênes.

    En 1323, l'Arborée s'allie à Jacques II d'Aragon pour une campagne militaire contre Pise et Gênes qui aura pour fin de créer le royaume de Sardaigne. Après avoir aidé à détruire les autres judicats, celui d'Arborée résiste et reste indépendant jusqu'en 1420, jusqu'au moment où il vend le reste des territoires pour 100 000 florins d'or à son ancien allié le roi d'Aragon, qui conquiert définitivement l'île toute entière, déjà concédée en zone féodée depuis 1297 par le pape Boniface VIII ainsi que la Corse voisine (à laquelle les Aragonais renoncent en 1487)[10].

    Le « Regnum Sardiniæ et Corsicæ » ainsi créé le 4 avril 1297 demeurera sous la domination des couronnes d'Aragon puis d'Espagne jusqu'au début de 1700[10].

    Chronologie apr. J.-C.

    Maison de Savoie

    Après une brève parenthèse autrichienne (1708-1718), confirmée par le traité d'Utrecht, le Regnum Sardiniæ est cédé, lors du « traité de Londres (1718) », aux États de Savoie, dont le duc prend le titre de roi de Sardaigne, en échange de la Sicile[10]. La Maison de Savoie a introduit l'italien chez les Sardes pour la première fois comme la seule langue officielle du Royaume en 1760[15].

    Le royaume de Sardaigne est ainsi constitué (désigné généralement sous le nom de Piémont-Sardaigne par les historiens français puisque sa capitale est à Turin et une vice-royauté est installée à Cagliari), et à l'intérieur de celui-ci l'île maintient son statut autonome jusqu'à 1847, année où elle fusionne avec le Piémont et donne le jour à un gouvernement central unique, renonçant ainsi à son autonomie historique.

    L'expédition de Sardaigne et ses conséquences

    En 1793 a lieu l'invasion de l'île de Sardaigne en plusieurs points, par la France révolutionnaire, au nord dans l’archipel de La Maddalena, au sud sur la plage du Poetto, échouée elle aussi, et dans l'île de San Pietro, où une république autonome résista quelques mois. Elle déroula trois mois avant les insurrections fédéralistes qui éclatèrent en province lors de la Révolution française, après les évènements du 31 mai 1793 et les décrets du 2 juin 1793 éliminant les Girondins de la Convention.

    Parmi ses dirigeants, le lieutenant-colonel d'artillerie Napoléon Bonaparte qui place ses canons face à La Maddalena, principale bourgade de l'archipel créant la panique dans la population puis mouvement de résistance sarde d'environ 200 hommes, en majorité des bergers, organisés par Domenico Millelire : pour résister, ils mettent en place une "marine sarde" de résistance, composée de petits bateaux.

    Cette opération appelée du nom d'expédition de Sardaigne, partie de Corse, échoue rapidement à cause de cette résistance sarde. Elle a ensuite pour conséquence la mise en accusation de Pascal Paoli, fondateur en 1755 de la République Corse.

    Le 28 avril 1794 une véritable rébellion antiféodale éclate à Cagliari et, deux ans après, une nouvelle insurrection est menée par l'émissaire du vice-roi Giovanni Maria Angioy qui, après avoir été vaincu par les loyalistes, s'enfuit à Paris pour persuader la France d'annexer l'île.

     
    Vue d'ensemble de quelques-unes des plus importantes villes de la Sardaigne : Cagliari, Alghero, Sassari, Nuoro, Oristano et Olbia.
    Le transfert de la Cour piémontaise à Cagliari

    En 1799, le roi Charles-Emmanuel IV fut évincé du Piémont par l'armée française et transféra sa cour à Cagliari (son frère et successeur Victor-Emmanuel Ier ne revint à Turin qu'en 1814). À la fin du XVIIIe siècle, les universités de Sassari et Cagliari furent restaurées.

    Retour à la Maison de Savoie

    En 1820, les Savoyards imposèrent à l'île la "Loi des Enclos" (editto delle chiudende), un acte législatif qui transforma la propriété collective traditionnelle de la terre, pierre angulaire culturelle et économique de la Sardaigne depuis l'époque nuragique, en propriété privée.

    La réforme a favorisé les propriétaires terriens du continent tout en excluant les pauvres agriculteurs et bergers sardes, qui ont assisté à l'abolition des droits communaux et à la vente des terres. De nombreuses rébellions locales comme l'émeute de Su Connottu (« Le déjà connu » en sarde) en 1868, toutes réprimées par l'armée du roi, ont abouti à une tentative de retour dans le passé et de réaffirmer le droit d'utiliser la terre autrefois commune.

    Le comte Alberto La Marmora parcourt l'île de Sardaigne de 1819 à 1825 et en effectue une des premières descriptions détaillées, statistique, géographique et physique, en 1826, dont l'écrivain français Humbert Ferrand, publie un compte rendu français 14 ans plus tard, en 1840[16], en quatre volumes[16].

    La plupart des forêts sardes ont été défrichées à cette époque, afin de fournir aux Piémontais des matières premières, comme le bois, utilisées pour fabriquer des traverses de chemin de fer sur le continent. L'extension des forêts naturelles primaires, saluée par tous les voyageurs visitant la Sardaigne, serait en fait réduite à un peu plus de 100 000 hectares à la fin du siècle.

    En 1847, sous le roi Charles Albert, toutes les différences administratives entre la Sardaigne et le continent italien ont été abolies par la fusion dite parfaite  : ce changement avait été présenté comme le seul moyen possible d'accorder des droits égaux à tous les habitants du Royaume, qui allait devenir un État unitaire et la législation fondamentale de l'Italie unie à venir.

    En 1857, l'île comptait 577 000 habitants ; les seules villes importantes étaient Cagliari (30 000 habitants) et Sassari (23 000 habitants), ayant chacune une université. Selon le géographe britannique William Hughes, « le peuple est généralement brave et hardi mais indolent et peu avancé dans la civilisation ». Une seule route carrossable traversait l'île, de Cagliari à Oristano et à la côte nord ; ailleurs, il n'y avait que des chemins muletiers ou des pistes encore plus étroites encore[17].

    Royaume d'Italie

    Avec la fin des guerres pour la unification politique de la péninsule italienne, le royaume de Piémont-Sardaigne devient royaume d'Italie en 1861.

    La Sardaigne est une région complexe qui a conservé, au travers de ses témoins culturels, des matériaux présentant un intérêt historique et artistique, un bagage original très caractéristique que l'on n'arrête pas de redécouvrir et qu'il sied de revaloriser en tenant compte de toute sa richesse.

    Héraldique
    Dessin représentant les armoiries du royaume de Sardaigne 
    Armoiries du royaume de Sardaigne.

    L'origine du symbole sarde n'est pas bien définie, mais on retrouve sa trace historique attestée en 1281. On doit noter son analogie avec celui de la Corse voisine. Plusieurs faits historiques peuvent l’expliquer[18]. En effet, le premier événement historique se déroule en 1014, par la victoire sur Museto à Cagliari (voir l'histoire), et ainsi, les têtes de Maures représenteraient les vaincus, et sont au nombre de quatre en référence aux régions sardes.

    Mais le fait historique le plus explicatif du symbole serait celui datant de 1096, lorsque le roi Pierre Ier d'Aragon vainquit les Maures lors de la bataille d'Alcoraz. Il expliqua cette victoire sur les quatre rois arabes tués sur le champ de bataille, par le concours providentiel de saint Georges (dont la bannière est une croix rouge sur fond blanc)[19]. D'ailleurs, d'anciennes représentations montrent parfois quatre têtes couronnées.

    C'est le 5 juillet 1952 que l'emblème devient, par décret, le symbole officiel de la Sardaigne. La Loi régionale du 15 avril 1999 a relevé le bandeau sur le front des Maures (à l'origine, il leur bandait les yeux), pour des raisons diplomatiques[20].

    (it) Une des publications officielles sur le sujet reste la chronologie des cultures préhistoriques que l’on trouve dans le livre du professeur Giovanni Lilliu, La civiltà dei Sardi, Turin, éd. Eri, 1988, 3e édition (ISBN 8886109733). « Roger Joussaume, La Sardaigne mégalithique - Clio - Voyage Culturel », sur www.clio.fr (consulté le 21 avril 2021) "Deux boxeurs de l'âge du Fer découverts en Sardaigne", par Jade Pillaudin, article dans le Quotidien de l'art N°2392, le 17 mai 2022[1] Ouest-France avec AFP le 07/05/2022 [2] (it) Giovanni Lilliu, Betili e betilini nelle tombe di giganti della Sardegna, revue : Atti della Accademia Nazionale dei Lincei, Memorie, Serie IX, Vol VI, 1995. (it) Ferruccio Barrecca, La Sardegna fenicia e punica, Chiarella, 1974. Collectif, Actes du Colloque international : Carthage et les Autochtones de son empire au temps de Zama, Tunis, Siliana, 2004, pdf. (it) Piero Bartoloni et Spanò Giammellaro, Atti del V Congresso internazionale di studi fenici e punici ; chapitre : Fenici e Cartaginesi nel Golfo di Oristano, Palerme, 2005. (it) Francesco Cesare Casula, Breve Storia di Sardegna, Sassari, Carlo Delfino, 1994 (ISBN 88-7138-065-7). ↑ a b c d et e (it) Francesco Cesare Casula, La storia di Sardegna, Sassari, Delfino, 1994 (ISBN 88-7138-063-0). (it) Alfonso Stiglitz, Giovanni Tore, Giuseppe Atzori et Salvatore Sebis, Un millennio di relazioni fra la Sardegna e i paesi del Mediterraneo (chapitre : La penisola del Sinis tra i bronzo finale e la prima età del ferro, Selargius Cagliari, 1986. ↑ a b c d e f g h i j k l et m Jean-Michel Poisson, « Elites urbaines coloniales et autochtones dans la Sardaigne pisane (XII-XIIIe siècle) », Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public,‎ 1996, p. 65-181 (lire en ligne) Fernand Hayward, Sardaigne terre de lumière, p. 47. Auguste Boullier, L’Île de Sardaigne, p. 79 [lire en ligne]. Amos Cardia, S'italianu in Sardìnnia candu, cumenti e poita d'ant impostu: 1720-1848; poderi e lìngua in Sardìnnia in edadi spanniola, Ghilarza, Iskra, 2006, p. 88, 91 ↑ a et b "Voyage en Sardaigne - Description statistique, physique et politique de cette ile, avec des recherches sur ses productions naturelle» et ses antiquités, par le comte Alberto La Marmora, compte rendu de Humbert Ferrand. [3] William Hughes, A Manual of Geography, London, 1861, p. 281-283 [4] * (it) Barbara Fois, Lo stemma dei quattro mori: breve storia dell'emblema dei sardi, Sassari, Carlo Delfino Editore, 1990. (es) Antonio Ubieto Arteta, Una narración de la batalla de Alcoraz atribuida al abad pinatense Aimerico, Argensola: Revista de Ciencias Sociales del Instituto de Estudios Altoaragoneses, 1951 (lire en ligne), p. 7:245–56. (it) Franciscu Sedda, La vera storia della bandiera dei sardi, Cagliari, Edizioni Condaghes, 2007.
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