Cette région est inscrite depuis 2004 au patrimoine mondial de l'UNESCO parce qu'elle est le témoignage vivant d'une culture traditionnelle africaine profondément respectueuse de la nature[1]. L'assistance préparatoire d'inscription du site au Patrimoine mondial de l'Unesco a été réalisée par Craterre, T. Joffroy et Dominique Sewane, Expert international au Patrimoine mondial.[2]
En 2008, le Patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO, dirigé par Rieks Smeets, a monté un « Programme de préservation du PCI des Batammariba » favorisant la transmission des savoirs. Il a également pour but d'éviter les dérives d'un tourisme irresponsable. Ce programme, coordonné par Dominique Sewane[3], auteur de nombreuses publications sur la vie cérémonielle des Batammariba, a été installé à Koutammakou par le Ministère de la Culture du Togo[4] et le Ministère de l'Enseignement primaire du Togo.
Du 19 au 24 octobre 2018, l'UNESCO a organisé une mission d’urgence pour évaluer les dégâts qui auraient été causés par les pluies d'août 2018 à Koutammakou sur l'habitat et sur le patrimoine immatériel. Le rapport a été préparé par trois experts internationaux : Ishanlosen Odiaua, Dominique Sewane et Franck Ogou.
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